A Montluçon, la dernière pédiatre de l’hôpital va partir le 1er novembre. Elle part dit-elle « parce qu’elle refuse de mettre en danger la vie d’un enfant parce que les conditions de travail ne sont pas optimales. » Alors qu’il faudrait sept pédiatres, elle se retrouve seule ! Et évidemment, plus les conditions de travail se dégradent moins il y a de médecin prêt à venir travailler. Cette dégradation des conditions de travail et la situation actuelle ne sont que les conséquences de gestion politique au service du capital plutôt qu’à celui de la population.
C’est toute cette politique capitaliste dans la santé menée depuis des années qu’il faut combattre !