Restauration : protège-toi, syndique-toi !

Les travailleuses et travailleurs de la restauration ont été durement touché-es par la crise sanitaire : perte de revenus avec le chômage partiel ou absence totale de droits pour nombre d’entre-nous non déclaré-es… La reprise progressive du travail ne doit pas être synonyme de nouveaux sacrifices sur nos droits : l’exploitation et le mépris ça suffit ! Organisons-nous syndicalement avec la CNT-SO !

Dans la restauration, nous subissons chaque jour des conditions de travail d’un autre âge : des salaires qui ne permettent pas de vivre et des heures sup’ impayées, des contrats de travail précaires, le travail au noir très répandu qui nous prive de protection sociale, des plannings donnés à la dernière minute et des journées sans fin qui chamboulent notre vie de famille, notre dignité piétinée par le mépris des patrons, nos droits sociaux et syndicaux bafoués…

Tous les jours nous subissons la pression de l’encadrement. Les patrons profitent des tensions entre les travailleurs et encouragent le chacun pour soi. Pour faire face et résister, il ne faut pas rester seul. Même dans les très petites entreprises, l’entraide entre les travailleurs est possible.

Cuisiniers, serveurs, commis, plongeurs, livreurs… il est temps de nous unir ! Le syndicat c’est la force collective pour se défendre contre les patrons.


Se syndiquer 👇

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Avec la CNT-Solidarité Ouvrière, nous revendiquons :

– le respect des conventions collectives et du droit du travail,
– la reconnaissance des qualifications (pas de commis de cuisine payé comme plongeur),
– le paiement de toutes les heures travaillées,
– la transformation des CDD en CDI,
– la suppression des contrats d’extra,
– une indemnité spéciale pour les salariés finissant après minuit (paiement du taxi),
– la majoration à 100% du travail du dimanche, du travail de nuit et des jours fériés,
– un 13è mois pour tous,
– la régularisation de tous les travailleurs sans papier,
– le respect de la liberté syndicale

Solidarité et union des travailleurs et travailleuses du secteur de la restauration pour défendre nos droits et en gagner de nouveaux !

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Restauration : vos droits

Quelque soit le métier, les salarié-e-s du secteur dépendent de deux conventions principales :

– Convention collective nationale des hôtels, cafés restaurants (HCR) (IDCC 1979)

– Convention collective nationale de la restauration rapide (IDCC 1501)

Pour toute question sur tes droits, contacte le syndicat !

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Choisir la CNT Solidarité Ouvrière c’est développer une alternative syndicale !

Refus du corporatisme

La CNT-Solidarité Ouvrière refuse les divisions corporatistes et développe un syndicalisme d’industrie. Les travailleurs et les travailleuses d’une même « industrie », quels que soient leurs métiers, leurs statuts ou employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.

Indépendance et autogestion
La CNT Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement grâce aux cotisations de ses adhérent-e-s, sans subventions de l’État ou du patronat. Elle est indépendante de tout groupement politique ou religieux. C’est la base du syndicat (ses adhérent-e-s), qui décide en échangeant dans les Assemblées Générales.

Refus du clientélisme et de la corruption patronale

À la CNT Solidarité Ouvrière, c’est toujours l’intérêt collectif des travailleurs-euses qui prime et le syndicalisme se pratique avec droiture. Nous refusons les petits arrangements « entre amis » et la complicité douteuse avec les employeurs.
Un outil au service des travailleurs et travailleuses

Le syndicat apporte des conseils juridiques et d’autres aides concernant les conditions de travail. C’est aussi un espace important de formation pour s’émanciper.

Un outil de coordination au service des luttes

Nous défendons un syndicalisme de lutte de classes. Tout est question de rapports de force, c’est par les luttes syndicales, sous toutes leurs formes, que nous faisons avancer nos intérêts contre ceux des patrons.

Un syndicalisme révolutionnaire

Défendre nos conditions de travail, gagner de nouveaux droits, c’est le rôle du syndicalisme. Mais nous revendiquons aussi un autre projet de société, à l’opposé des inégalités actuelles et loin de tout rapport de domination. Nous militons pour un projet de transformation sociale révolutionnaire.

Communiqué de l’intersyndicale marseillaise McDonald’s

LE 23 OCTOBRE, NOUS MANIFESTERONS CONTRE MCDONALD’S ET SON MONDE !

Cela fait près d’un an que l’enseigne de restauration rapide McDonald’s connait des luttes sans précédent, par leur longueur comme par leur force, dans plusieurs régions de France.

De Paris à Marseille, de Rouen à l’Aveyron, le personnel se mobilise pour revendiquer :
– la fin du temps partiel imposé et l’augmentation des salaires,
– le respect des libertés syndicales,
– l’arrêt de l’évasion fiscale par laquelle la compagnie spolie les salariés et la collectivité.

McDonald’s ne peut traiter plus longtemps par le mépris ces revendications. Nous, organisations syndicales de McDo et d’ailleurs, associations et organisations politiques appelons à une

manifestation inédite en direction du siège de McDonald’s France le mardi 23 octobre à 10 h 30 depuis la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines

pour exiger une chose simple : McDo, tu dois changer ; McDo, tu vas changer !

………………..

Événement Facebook : https://www.facebook.com/events/271098106855717

………………..

Premiers signataires :

– Syndicats :
CFDT Hôtellerie Tourisme Restauration
CGT McDo Ile-de-France
Fédération CGT du Commerce

Intersyndicale McDonald’s Paris Nord (CFDT-CGT-SUD)
Intersyndicale McDonald’s Marseille (CFDT-CGC-FO-UNSA-SUD)
CNT-SO
Solidaires Bouches-du-Rhône
Solidaires Saône-et-Loire
Solidaires Yvelines
SUD Commerce
SUD Hôtellerie-Restauration
SUD Poste 92
UNEF
UNL

– Associations :
ATTAC
Comité de soutien aux salarié-es de la restauration rapide
Front social
Front social 78
REACT
Stop Précarité

– Organisations politiques :
Alternative Libertaire
Ensemble
La France Insoumise
Gauche Démocratique et Sociale
Les Jeunes Insoumis.es
Nouveau Parti Anticapitaliste
Parti Communiste Français

Violence patronale, répression anti- syndicale : Ça se passe comme ça chez Mac Donald’s !

Le franchisé de plusieurs Mac Do de Marseille a les mêmes méthodes que son enseigne : terreur, licenciements abusifs et vigiles pour casser la grève… Ketchup avarié sur le burger : du fric mis sur la table pour faire dégager les militants syndicaux !

Mac Do, c’est une longue histoire d’exploitation.

En 2017, une grève à Villefranche de Rouergue a duré six mois suite au licenciement d’un salarié. Là aussi un franchisé est à la manœuvre. Mais la patte managériale Mac Do est dans l’ombre.

Aujourd’hui aux États-Unis, de nombreux cadres de Mac Do sont accusés de pratiquer le harcèlement sexuel comme méthode de management.
À Marseille, le conflit a démarré avec la vente de six enseignes de la région à un repreneur, Mohammed Abassi, qui en possède déjà huit. Ses méthodes : intimidation et vigiles avec pour objectif la liquidation du Mac Do de St Barthélémy, considéré comme un véritable bastion.

Un patron ça licencie énormément ! Ça cogne aussi !

Grèves, occupations et manifestations sont le quotidien des salarié.e.s de Mac Do depuis cinq mois. Leur combat tenace a permis de gagner aussi au tribunal. La cession du Mac Do de St Barthélémy a été annulée en septembre.
Cependant, jamais à Marseille chez Mac Do le niveau de violence n’a été aussi haut. _ Au Mac Do Chave une représentante syndicale est harcelée par sa hiérarchie qui enchaine les mesures vexatoires à son encontre, elle a même été victime d’une agression ayant entrainée une ITT de 3 jours ! Et ce n’est pas un cas isolé ! du Mac Do de Félix Barret à celui de Grand Littoral, les représentants syndicaux sont harcelés, intimidés et poussés vers la porte. Placardisation, agressions verbales, agressions physiques, arme braquée sur la tête sont les méthodes utilisées contre les salarié.e.s

Face à l’escroquerie patronale et à sa violence, l’action solidaire s’est exprimée le 9 octobre, lors de la manif intersyndicale, par l’intervention devant (et dans) 3 Mac Do, salarié(e)s Mac Do et manifestant(e)s solidaires de leur lutte côte à côte. Cette action solidaire doit se poursuivre, s’amplifier et devenir notre arme.

– Rendez vous 16 octobre au Mac do Chave à 18 heures 30

– Rendez-vous jeudi 18 octobre devant le TGI de Marseille à 10h rassemblement de soutien pour gagner l’annulation de la vente des 5 autres restaurants

Pour suivre la lutte des Mac Do, une page Facebook : « Christian Buisson ».

Caisse de grève en ligne : https://www.leetchi.com/c/tous-ensemble-du13014

Premiers signataires: ATTAC Marseille, CNT-SO, CNT-STICS, LDH Marseille, NPA, Mouvement de la paix, PG, UNEF Aix-Marseille, UNL, Union syndicale Solidaires 13

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Lutte des MacDo Marseille : un peu d’historique

Cinq mois de lutte :

Les salarié.e.s de 6 restaurants Mac Donald de Marseille et environ (Sainte Marthe/ St Barthélémy, Plan de Campagne, Blancarde/Jarret, Grand Littoral, Vitrolles, Saint Victoret) sont en lutte depuis plus de cinq mois.
Ces Mac Do sont franchisés, comme beaucoup d’autres. Ils refusent la vente de leurs franchises à un nouveau repreneur, vente qui va entre autres remettre en cause leurs acquis sociaux (si tant est que l’on puisse parler d’acquis sociaux importants en ce qui concerne les conditions de travail chez Mac Do), leur emploi (avec des suppressions d’emploi à la clé) et leurs droits syndicaux (les représentants syndicaux étant les premiers dans le collimateur).

Le soutien :

Les organisations syndicales ayant des représentants chez les salarié.e.s concerné.e.s les ont soutenus, ainsi que plusieurs élu.e.s ou associations des quartiers voisins. Des militants nationaux sont à plusieurs reprises venus à Ste Marthe pour rencontrer les Mac Do, participer aux rassemblements et audiences en justice. Un comité de soutien à été crée, il mène des actions avec les salariés comme lors de la journée de grève et de manifestation du 9 octobre dernier. Ils ont également reçus des soutiens de Mac Do à l’étranger (USA, Grande Bretagne, …) qui leur ont fait chaud au cœur.

La justice :

Le Mac Do du rond point de Sainte Marthe (Saint Barthélémy) est un cas particulier, puisqu’il était question, dans les plans de la direction et du repreneur, de le transformer en resto rapide « asiatique ». Or ce Mac Do joue, peut-être plus qu’ailleurs, un rôle de pôle de rencontre important dans ce quartier, dit « défavorisé ». En plus de la défense des salarié.e.s, son maintien a un rôle social.
C’est la raison qui fait qu’un référé en justice a été déposé concernant la vente spécifiquement de St Barth/Ste Marthe, par l’avocat des salarié.e.s.

La lutte continue :

Si, début septembre, la décision du Tribunal de Grande Instance de Marseille a été de déclarer illégale la vente de St Barthélémy, ce n’est qu’ une première victoire : les 5 autres restaurants sont toujours sous la menace d’une vente sauvage, qui aboutirait à un plan social et à une régression des droits des salarié.e.s restant.e.s.

La lutte continue donc pour l’ensemble des salarié.e.s des 6 restaurants. La solidarité avec elles et eux doit s’étendre, elle est de plus en plus nécessaire quand on voit le mépris des décideurs Mac Do, et les méthodes excessivement violentes utilisées par le potentiel repreneur contre les salarié.e.s.
Plus que jamais renforçons la solidarité autour des Mac Do en lutte !

Violences patronales, répression anti-syndicale : ça se passe comme ça chez McDonald’s !

La CNT-Solidarité Ouvrière dénonce le traitement discriminatoire, les intimidations et violences que subit notre camarade Maha, depuis sa désignation en septembre 2018 comme représentante de section syndicale (RSS) au sein des restaurants Mac Donald’s de la « franchise Abassi ».

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Se déclarer ouvertement syndicaliste chez Abassi c’est s’exposer subitement comme Maha à : des pressions et remarques quotidiennes des cadres pour pousser à la démission, des actions pour justifier artificiellement d’une faute (faux pointages), des mesures vexatoires comme une modification brutale des horaires de travail avec des fractionnements abusifs et des sorties tardives empêchant un retour à domicile en transport en commun, ou plus grave à des actes de violence. Notre camarade a ainsi dû porter plainte suite à une agression (orchestrée ?), le 03/10, sur son lieu de travail par des collègues, donnant lieu à 3 jours d’ITT.

Il ne s’agit nullement d’un problème isolé : les salarié-e-s de ces restaurants marseillais vivent quotidiennement un climat d’intimidation généralisé et de mal-traitance. De manière générale, les militants syndicaux sont particulièrement visés par l’employeur et son encadrement dans le but de s’en débarrasser ou d’entraver l’action syndicale pour la défense des droits des salariés.
Ce climat de tension est encore monté d’un cran avec le conflit social qui défraie la chronique autour de la reprise par ce franchisé de six restaurants supplémentaires dont l’emblématique Mac Do de Sainte Marthe en lutte depuis plusieurs mois. De nombreux vigiles, véritable milice patronale flicant les salarié-e-s, occupent notamment les restaurants.

Il n’est pas question de se laisser faire !

Après une première action au Mac Do St-Charles le 22 septembre, le comité de soutien aux salarié-e-s de Mac Do, regroupant diverses organisations syndicales et politiques, entend poursuivre ses actions, en direction des restaurants Mac Donald’s qu’ils appartiennent ou pas à ce franchisé voyou. Des rassemblements ont déjà été organisé le 09/10 et le 16/16 devant les MacDo marseillais. L’impunité et la loi du silence doivent cesser !

A LA VIOLENCE PATRONALE RÉPOND LA SOLIDARITÉ SYNDICALE !

Un coup contre l’un-e d’entre nous est un coup contre tous-tes !

La lutte des McDo confrontée à des méthodes fascisantes ! Rassemblement à Marseille, samedi 22/09

Si la décision du TGI de Marseille, le 7 septembre 2018, interdisant la cession du restaurant de St Barthélemy a réjoui les salariés-e-s et l’ensemble de leurs soutiens, les derniers événements survenus dans d’autres restaurants sont graves et préoccupants.

Rassemblement Mc Do 22 septembre 2018

Alors que les salarié-e-s entendent poursuivre leur mobilisation et les recours en justice pour empêcher la cession des 6 restaurants, qui serait synonyme de régression sociale et de remise en cause des droits syndicaux, ils sont confronté-e-s depuis plusieurs jours à une recrudescence des actes d’intimidation et de violence inacceptables.

La détermination et la dignité des salarié-e-s se heurtent à des méthodes fascisantes. Si on a du mal à identifier les protagonistes, il est facile de comprendre qui les commandite . Ils veulent exploiter davantage les salarié-e-s , dont les salaires sont entre 600et 800 euros et n ‘hésitent pas à s’attaquer à leur intégrité physique.

Suite à la dernière agression par 6 individus d’un représentant syndical – qui a fait un dépôt de plainte – et au climat de violence qui règne, les salarié-e-s de plusieurs restaurants ont fait le choix d’exercer leur droit de retrait.

Ils poursuivent leur mobilisation en exigeant la fin de ces violences psychologiques et physiques, et en témoignant quotidiennement de leur volonté de dialogue pour défendre leurs emplois et leurs conditions de travail.

Les organisations syndicales , politiques et associatives appellent à renforcer cette lutte exemplaire et à protéger les salarié-e-s.

RASSEMBLEMENT SUR L’ESPLANADE DE LA GARE SAINT CHARLES
SAMEDI 22 SEPTEMBRE 2018 11 HEURES 30

Restauration : en 2018, on s’organise avec la CNT-SO !

Dans la restauration, nous subissons chaque jour des conditions de travail d’un autre âge : des salaires qui ne permettent pas de vivre et des heures sup’ impayées, des contrats de travail précaires, le travail au noir très répandu qui nous prive de protection sociale, des plannings donnés à la dernière minute et des journées sans fin qui chamboulent notre vie de famille, notre dignité piétinée par le mépris des patrons, nos droits sociaux et syndicaux bafoués…

Tous les jours nous subissons la pression de l’encadrement. Les patrons profitent des tensions entre les travailleurs et encouragent le chacun pour soi. Pour faire face et résister, il ne faut pas rester seul. Même dans les très petites entreprises, l’entraide entre les travailleurs est possible.

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Cuisiniers, serveurs, commis, plongeurs, livreurs… il est temps de nous unir ! Le syndicat c’est la force collective pour se défendre contre les patrons.

Avec la CNT-Solidarité Ouvrière, nous revendiquons :

– le respect des conventions collectives et du droit du travail,
– la reconnaissance des qualifications (pas de commis de cuisine payé comme plongeur),
– le paiement de toutes les heures travaillées,
– la transformation des CDD en CDI,
– la suppression des contrats d’extra,
– une indemnité spéciale pour les salariés finissant après minuit (paiement du taxi),
– la majoration à 100% du travail du dimanche, du travail de nuit et des jours fériés,
– un 13è mois pour tous,
– la régularisation de tous les travailleurs sans papier,
– le respect de la liberté syndicale

Solidarité et union des travailleurs et travailleuses du secteur de la restauration  pour défendre nos droits et en gagner de nouveaux !

Restauration : vos droits

Quelque soit le métier, les salarié-e-s du secteur dépendent de deux conventions principales :

– Convention collective nationale des hôtels, cafés restaurants (HCR) (IDCC 1979)

– Convention collective nationale de la restauration rapide (IDCC 1501)

Pour toute question sur tes droits, contacte le syndicat !

Choisir la CNT Solidarité Ouvrière c’est développer une alternative syndicale !

Refus du corporatisme

La CNT-Solidarité Ouvrière refuse les divisions corporatistes et développe un syndicalisme d’industrie. Les travailleurs et les travailleuses d’une même « industrie », quels que soient leurs métiers, leurs statuts ou employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.
Indépendance et autogestion
La CNT Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement grâce aux cotisations de ses adhérent-e-s, sans subventions de l’État ou du patronat. Elle est indépendante de tout groupement politique ou religieux. C’est la base du syndicat (ses adhérent-e-s), qui décide en échangeant dans les Assemblées Générales.
Refus du clientélisme et de la corruption patronale

À la CNT Solidarité Ouvrière, c’est toujours l’intérêt collectif des travailleurs-euses qui prime et le syndicalisme se pratique avec droiture. Nous refusons les petits arrangements « entre amis » et la complicité douteuse avec les employeurs.
Un outil au service des travailleurs et travailleuses

Le syndicat apporte des conseils juridiques et d’autres aides concernant les conditions de travail. C’est aussi un espace important de formation pour s’émanciper.
Un outil de coordination au service des luttes

Nous défendons un syndicalisme de lutte de classes. Tout est question de rapports de force, c’est par les luttes syndicales, sous toutes leurs formes, que nous faisons avancer nos intérêts contre ceux des patrons.
Un syndicalisme révolutionnaire

Défendre nos conditions de travail, gagner de nouveaux droits, c’est le rôle du syndicalisme. Mais nous revendiquons aussi un autre projet de société, à l’opposé des inégalités actuelles et loin de tout rapport de domination. Nous militons pour un projet de transformation sociale révolutionnaire.