La Grève du 27 janvier en Auvergne

Alors que l’économie reprend et que les profits flambent, la problématique de la vie chère (logement, transport, énergies…) s’est encore aggravée. Ce n’est pas la récente aumône de 100 € qui va changer la donne : il faut remettre la question de la répartition des richesses au cœur du débat ! C’est pourquoi la CNT-SO appelle à participer massivement à la journée de grève interpro intersyndicale du 27 janvier pour revendiquer dans l’immédiat : l’augmentation générale des salaires, des retraites et des minimas sociaux !

Les lieux et heures de rendez-vous en Auvergne pour la journée de grève interprofessionnelle du 27 janvier.

Artistes / Auteur-e-s : Comprendre ses cotisations

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POUR EN FINIR AVEC LA LOGIQUE DE L’AIDE ET GARANTIR UN DROIT À LA CONTINUITÉ DU REVENU AUX TRAVAILLEUR·EUSES DE L’ART

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Activités postales : on revendique avec la CNT-SO !

Groupe La Poste La CNT-SO syndique tous les salarié-es de l’opérateur public historique et ses filiales (chronopost, DPD…) dans tous les secteurs (réseau, distribution, banque…). Rejoignez nous pour revendiquer !

CNT-SO Activités postales & télécom : Secteur postal, présentation du syndicat TÉLÉCHARGER

Éducation : Il faut savoir continuer une grève !

Avec notre grève exemplaire de jeudi, Blanquer est touché mais pas encore coulé. Nous ne pouvons pas nous contenter de ses larmes de crocodile et de ses premières annonces tant l’urgence est encore là. La CNT-SO appelle à construire la suite en AG, soutient les appels à la grève pour le 20/01 et toutes les initiatives locales de lutte, dans la perspective d’une grève massive le 27/01 en Interpro.cnt_so_education_com_16_01_222

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La crise sanitaire a révélé des manquements invraisemblables dans tous les secteurs de l’éducation, conséquence d’années de choix politiques austéritaires. Il est temps de mettre en place un grand plan d’urgence pour l’école et de débloquer de vrais moyens, humains et matériels.

La CNT-SO revendique un grand plan d’urgence pour l’Ecole :

L’Incendiaire n°16

Bulletin d’information de la section syndicale France Incendie (Scutum Incendie)

REFUSONS LA SÉLECTION SOCIALE ET LA HAUSSE DES FRAIS D’INSCRIPTION, MOBILISONS-NOUS JEUDI 3 FÉVRIER !

Chaque année, à Montpellier comme ailleurs, des étudiantes et étudiants se retrouvent privés de l’accès aux de études de leur choix. Parcoursup en Licence et la sélection en Master entraînent ces situations injustes et précarisantes, qui s’aggravent chaque année, comme en témoigne le projet gouvernemental de mettre en place un Parcoursup en Master.

Pire, Emmanuel Macron vient d’annoncer un nouveau projet : l’augmentation des frais d’inscription à l’université.

Le weekend des 8 et 9 janvier, une délégation du SCUM était à l’université Paris-Nanterre, où des étudiantes et étudiants sans-fac occupent depuis plus de 2 mois la présidence de la fac avec l’UNEF-TACLE.

A cette occasion, une rencontre nationale des étudiantes et étudiants en lutte s’est tenue, afin d’organiser un mouvement étudiant national contre la sélection sociale en Licence et Master, et contre la précarité étudiante. Pour organiser la mobilisation étudiante à Montpellier, un comité d’action étudiant s’est tenu lundi 10 janvier et appelle aux mobilisations suivantes :

– Lundi 17 janvier à 14h : rassemblement devant le Rectorat de Montpellier (rue de l’Université, tramway Louis Blanc)

– Jeudi 27 janvier à 10h30 : participation à la mobilisation interprofessionnelle contre les politiques gouvernementales. Devant la CPAM (Cours Gambetta).

Et grande mobilisation étudiante contre la sélection sociale et la hausse des frais d’inscription jeudi 03 février.

A 9h30, départ en manifestation devant le bâtiment H de l’Université Paul Valéry puis à 10h30, second départ depuis la Faculté d’Éducation (tramway Stade Philippides), pour un rendez-vous final à 11h30 devant le Rectorat (rue de l’Université, tramway Louis Blanc).

Evènement facebook de la mobilisation : https://www.facebook.com/events/459465969124962/

Mobilisation organisée par : Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier (SCUM) Association Montpelliéraine des Etudiants en Santéle BDE FDE « La Meef’ », la Corpo Lettres Epsylone, l’Association des Etudiants en Master et Doctorat de Montpellier et le collectif FDE en lutte, et soutenus par les syndicat interprofessionnels CGT des universités de Montpellier et  CNT-Solidarité Ouvrière.

Politique sanitaire : communiqué de la CNT-SO

La situation sanitaire continue de s’aggraver avec une sixième vague Omicron qui s’est enchaînée par dessus la vague Delta. Le gouvernement reste sur une ligne en faillite depuis 2 ans, alternant autoritarisme et gestion à court terme, sans cohérence, visant plus à préserver «l’Économie» que la population. Il est temps de changer de cap et de revendiquer enfin une politique sanitaire non-autoritaire, populaire et anti-capitaliste !

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Vacciné·es mais pas fliqué·es !

Alors que le pass sanitaire va se transformer en pass vaccinal, nous contestons toujours le choix de cette mesure autoritaire et liberticide comme mode de gestion de l’épidémie et revendiquons son abrogation. Cet outil de techno-police vient s’ajouter aux nombreuses mesures sécuritaires mises en place depuis plusieurs années dans un climat d’« État d’urgence » permanent. Il nous impose de badger via un smartphone et de subir des contrôles, y compris d’identité, pour des activités du quotidien. Cette dérive vers une société de surveillance totale est insupportable et doit être combattue !

Le pass est symbolique d’une gestion sanitaire totalement arbitraire. Par exemple, pourquoi épargner les centres commerciaux plutôt que des bibliothèques ou musées facilement sécurisables ? Pourquoi encadrer les transports en TGV et pas les nombreux trajets du quotidien dans des transports en commun souvent bondés ? Le gouvernement laisse délibérément courir l’épidémie mais fait semblant d’agir avec des mesures toujours plus absurdes et inutiles : masques en extérieurs alors que cela concerne peu de contaminations, règles sanitaires illisibles dans les bars ou les trains… Plutôt qu’une communication raisonnée sur le long terme, le gouvernement préfère le marketing politique instantané et doit revenir constamment sur ses engagements. Ces incohérences et revirements nourrissent la défiance envers les politiques de santé publique et les discours confusionnistes.

D’un point de vue purement sanitaire, le pass qu’il soit sanitaire ou vaccinal n’est pas une protection en soi. Comme le montre le boom épidémique depuis novembre, Il n’empêche pas les chaînes de transmission y compris par des personnes vaccinées. La sécurisation sanitaire des lieux à risque nécessite des investissements matériels (contrôle de la qualité de l’air…) et l’application de mesures de prévention… Fermer l’accès des bars ou cinémas aux personnes non vacciné·es ne les empêchera pas de vivre au contact du reste de la population et de se contaminer.

Même si elle n’est pas la solution miracle, capable seule d’éteindre la pandémie, nous le redisons sans ambiguïté : la vaccination massive reste un outil collectif majeur contre le COVID. Elle a des effets directs attestés sur la maladie, avec une limitation de la mortalité et des publics non-vaccinés proportionnellement toujours plus touchés, pour des effets secondaires relativement faibles, même si ils doivent être mieux reconnus et indemnisés. L’extension au maximum de la couverture vaccinale et son renouvellement si nécessaire, est légitime, comme pour d’autres vaccins qui nous ont libéré de maladies du passé. La question de la vaccination universelle doit être posée, par contre, il est pour nous contre-productif de l’imposer de façon non assumée et par des moyens détournés, comme le pass.

Pour une politique sanitaire non-autoritaire, populaire et anti-capitaliste !

La stratégie vaccinale ne peut clairement pas tout régler et les mesures non-pharmaceutiques restent incontournables. La lutte contre la pandémie doit s’accompagner de mesures sociales et économiques : distribution gratuite de masques FFP2 pour tous·tes, revenus garantis à 100% en cas d’isolement, de mise au chômage partiel ou de garde d’enfants y compris pour les travailleur·euses ubérisé·es, réquisitions de logements pour les personnes à la rue ou mal logé·es, soutien à ceux·celles vivant seul·les, gels des prix et loyers….

La priorité doit être donnée aux services publics, en premier lieu la santé. Il est inadmissible que la destruction de l’hôpital public se poursuivre avec la suppression des milliers de lits d’hôpitaux et des conditions de travail qui poussent les salarié·es du secteur vers la sortie et aggrave la situation. De nombreux services fonctionnent en sous-capacité faute de personnels ! Au contraire, la situation globale exige un plan d’urgence pour les hôpitaux à hauteur des besoins formulés par les soignant·es : c’est nous qui travaillons, c’est nous qui décidons ! Il faut imposer une revalorisation de tous les personnels, un investissement massif dans les soins à domicile et pour les travailleur·euses du secteur.

Comme le montre la situation chaotique depuis la rentrée, le système scolaire, est aussi particulièrement vulnérable et délibérément sacrifié par le gouvernement. Il est nécessaire de faire enfin les investissements pour le sécuriser notamment concernant l’aération des locaux comme tous les autres lieux fermés accueillant du public. Plutôt que de nier constamment la réalité de l’épidémie à l’école et d’alléger les protocoles, le ministre devrait plutôt répondre aux revendications des personnels sur sa gestion catastrophique.

Nous considérons que la vaccination est un «bien commun de l’humanité» et refusons par contre qu’elle soit source de profit pour les capitalistes de l’industrie pharmaceutique. Avec un collectif d’organisations, nous avons milité dès février pour une levée des brevets, une mutualisation des connaissances ou la réquisition des entreprises pharmaceutiques pour produire en masse les vaccins et les diffuser égalitairement dans tous les pays. Il n’y aura pas de contrôle de la pandémie à l’échelle mondiale sans cet accès libéré.

Ces mesures sont bien plus que symboliques, en remettant clairement en cause la main-mise des capitalistes sur nos vies. Plus que jamais, la pandémie et ses conséquences nous imposent d’avancer pour notre projet de transformation sociale en rupture avec le capitalisme !

Pour défendre efficacement nos intérêts : combattons le confusionnisme !

Il faut combattre l’autoritarisme et la politique de santé défaillante de Macron mais nous devons tous·tes être intransigeant·es face aux réactionnaires, sectaires ou politicien·nes opportunistes qui, par intérêt, prêchent la confusion. Ce sont souvent les mêmes qui nous gavaient d’explications simplistes niant l’épidémie ou de discours individualistes et égoïstes voulant laisser crever les vieux et les « faibles », qui surfent encore aujourd’hui sur le refus ou la méfiance de la vaccination. En empêchant de débattre sereinement sur une politique sanitaire réellement protectrice de la population et de nos intérêts de classe, ces discours servent le pouvoir. Nous savons pourtant que le COVID a bien plus frappé les quartiers populaires et les travailleur·euses en première ligne que les classes aisées. Le virus est bien là et le laisser prospérer serait dangereux et irresponsable !

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Version du 27 novembre

CNT_SO_COM_POLITIQUE_SANITAIRE_MAJ_26_11_21 

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Version du 22 novembre

CNT_SO_COMMUNIQUE_CONF_NOVEMBRE2021

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Crise sanitaire & sociale : plateforme revendicative de la CNT-SO

Les secteurs capitalistes, patrons et actionnaires, avec l’aide de gouvernements à leur service, ont pu préserver leurs intérêts malgré la violence de la crise du COVID. Au contraire, le monde du travail se trouve globalement dans une bien plus mauvaise position depuis la pandémie. Nous devons inverser le rapport de force en luttant ensemble pour défendre nos intérêts de classe. La CNT-SO défend la plateforme de revendications immédiates suivantes

 cnt_so_crise_sanitaire_sociale_plateforme_revendicative

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Bulletin de la CNT-SO des activités postales & télécommunications n°2

Le deuxième numéro du « Braséro », bulletin du syndicat national des activités postales et des télécommunications,  vient de sortir. Bonne lecture !
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Pour recevoir et diffuser Le Braséro en version papier, contactez le syndicat : poste-telecom[@]cnt-so.org.
cnt_so_bulletin_brasero2_janvier_fevrier2022

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Artistes /Auteur-e-s : Arrêt maladie

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