Grève du NH Collection Marseille : un an après, la répression continue !

Le jeudi 15 octobre 2020, quatre syndicalistes de la CNT-SO sont convoqués devant le tribunal correctionnel de Marseille suite au mouvement social du NH Collection en 2019.

Sous-traitance : COVID19 ou pas, on ne touche pas à nos droits !

La société STN, sous traitant dans le nettoyage tertiaire et hôtelier, tente d’imposer à ses 4085 salariés, un Accord de Performance Collective (APC). La crise sanitaire est bien sûr le prétexte pour casser les acquis sociaux des salariés les plus précaires !

Budget 2021, en période d’épidémie : l’austérité !

Communiqué de la fédération Éducation & Recherche de la CNT-SO sur le budget 2021 d’austérité dans l’Éducation et le sous-investissement face aux conséquences de l’épidémie de COVID-19.

La CNT-Solidarité Ouvrière c’est quoi ?

Le syndicalisme a été le moteur de la plupart de nos conquêtes sociales pourtant il semble aujourd’hui très éloigné du quotidien d’un grand nombre de travailleur-euses ! Nous partageons les critiques à l’encontre des syndicats institutionnels (bureaucratisation et éloignement du terrain, impuissance face à la dégradation de nos droits et conditions de travail, compromissions…) mais pour  nous le syndicalisme reste l’arme la plus efficace dans le combat collectif pour les travailleur-euses !

Il est temps de développer, à la base, un modèle alternatif et combatif qui revient aux fondamentaux du syndicalisme. C’est le sens de l’engagement quotidien des militant-e-s de la CNT Solidarité Ouvrière. Choisir la CNT Solidarité Ouvrière c’est développer une alternative syndicale ! Présentation 👇

Refus du corporatisme

La CNT-Solidarité Ouvrière refuse les divisions corporatistes et développe un syndicalisme d’industrie. Les travailleurs et les travailleuses d’une même « industrie », quels que soient leurs métiers, leurs statuts ou employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.

Indépendance et autogestion

La CNT Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement grâce aux cotisations de ses adhérent-e-s, sans subventions de l’État ou du patronat. Elle est indépendante de tout groupement politique ou religieux. C’est la base du syndicat (ses adhérent-e-s), qui décide en échangeant dans les Assemblées Générales.

Refus du clientélisme et de la corruption patronale

À la CNT Solidarité Ouvrière, c’est toujours l’intérêt collectif des travailleurs-euses qui prime et le syndicalisme se pratique avec droiture. Nous refusons les petits arrangements « entre amis » et la complicité douteuse avec les employeurs.

Un outil au service des travailleurs et travailleuses

Le syndicat apporte des conseils juridiques et d’autres aides concernant les conditions de travail. C’est aussi un espace important de formation pour s’émanciper.

Un outil de coordination au service des luttes

Nous défendons un syndicalisme de lutte de classes. Tout est question de rapports de force, c’est par les luttes syndicales, sous toutes leurs formes, que nous faisons avancer nos intérêts contre ceux des patrons.

Un syndicalisme révolutionnaire

Défendre nos conditions de travail, gagner de nouveaux droits, c’est le rôle du syndicalisme. Mais nous revendiquons aussi un autre projet de société, à l’opposé des inégalités actuelles et loin de tout rapport de domination. Nous militons pour un projet de transformation sociale révolutionnaire basé sur la gestion directe par les travailleur-euses, sans intermédiaires parasites, de l’économie et de la société.

Retrouvez le matériel de syndicalisation  👉 https://cnt-so.org/en-2022-on-sorganise/

Coronavirus : exercer son droit d’alerte et de retrait dans l’Éducation

Malgré les dénégations ministérielles, les établissements scolaires sont confrontés à la reprise active de l’épidémie de coronavirus sur le territoire. Le protocole sanitaire national, déjà insuffisamment protecteur pour les élèves et personnels, se heurte souvent aux réalités matérielles des établissements. La gestion locale au cas par cas des contaminations ajoute à la confusion. Face à cette mise en danger, les personnels peuvent et doivent réagir en utilisant leurs droits d’alerte et de retrait. Les établissements sont nos lieux de travail, le MEN comme tout employeur doit garantir la sécurité de ses personnels comme du public accueilli !

Sans-papiers : marche des solidarités du 19 septembre au 17 octobre

A l’appel de 15 collectifs de Sans-Papiers, de la Marche des Solidarités, des États Généraux des Migrations et de plus de 120 organisations, des Sans-Papiers marcheront à partir du 19 septembre des quatre coins du pays pour atteindre Paris en une grande manifestation le samedi 17 octobre. Ils/elles revendiquent : Régularisation des Sans-Papiers, fermeture des CRA, Logement pour tous.tes ! La CNT-SO est partie prenante de l’initiative unitaire.

COVID-19 : les salarié.e.s en isolement ou en garde d’enfant

Face à la multiplication des cas de COVID-19 impactant la vie professionnelle de nombreux.euses salarié.e.s, le gouvernement a du repréciser ou relancer des dispositifs notamment les arrêts maladies pour permettre l’isolement ou le chômage partiel pour permettre la garde d’enfants. On fait le point 👇

COVID-19 : les obligations à charge des employeurs

Conformément à son obligation de santé et de sécurité, le protocole sanitaire en entreprise met à charge de l’employeur plusieurs mesures visant à prendre en charge les salariés atteints ou non par le Covid 19.

COVID-19 : exercice du droit de retrait (secteur privé)

Face à la reprise épidémique actuelle du COVID-19, la santé des travailleurs.euses va encore être mise en balance avec les impératifs économiques. Il faut être vigilant.e.s individuellement et collectivement. Face à un employeur qui ne remplirait pas ses obligations de sécurité, le « droit de retrait » peut être une solution.

Rentrée 2020 : retrouvons la force du collectif !

C’est la rentrée scolaire pour des millions d’élèves et pour les travailleurs.euses de l’éducation. Une rentrée encore marquée par l’écho des conflits durs de la dernière année scolaire contre les réformes Macron/Blanquer et surtout les bouleversements liés à la pandémie de COVID-19.
La crise sanitaire est encore là et le système éducatif n’est toujours pas préparé de manière satisfaisante pour y faire face, malgré les déclarations de J.M Blanquer. Il n’y a pas de trêve sociale avec la crise sanitaire et de nouvelles attaques s’annoncent contre nos droits et le service public d’éducation. Il nous faudra encore lutter avec plus de détermination et pour cela investir nos outils syndicaux… Travailleurs.euses de l’éducation, protégez-vous, regroupez-vous, syndiquez-vous !