Pas de nouveau centre d’enfermement, ni à Pessac, ni à Mérignac, ni ailleurs !

La CNT-SO 33 est partie prenante de l’appel unitaire « Ensemble contre le centre de rétention, une prison qui ne dit pas son nom » qui organise une réunion d’information le 7 mai 2022 à 12h sur le site prévu pour la construction d’un nouveau Centre de Rétention Administrative à Pessac  (Gironde).

 

Soutenez l’initiative de convoi syndicaliste révolutionnaire en Ukraine

Contre la guerre et le nationalisme, pour l’accueil des réfugiés et en soutien aux anti-autoritaires d’Ukraine, de Biélorussie et de Russie : la CNT-SO organise un convoi syndical pour l’Ukraine !

Communiqué – convoi syndicaliste révolutionnaire en ukraine

Depuis le 24 février 2022, la Russie, la seconde armée du monde, puissance nucléaire s’il en est, envahit et détruit méthodiquement l’Ukraine.
Cette guerre a entrainé des millions d’Ukrainiens sur les routes, une destructuration des services publics, du système de soin, des violences multiples sur les populations en territoire occupés (meurtres, pillages, viols…).
Dans ce chaos, différentes initiatives de solidarité ont vue le jour, permettant utilement d’apporter médicaments, vivres, argents…
La CNT-SO a pris la décision depuis le début du conflit d’aider, autant qu’elle le pouvait les organisations syndicales et différentes structures anti-autoritaires (appel aux dons, rassemblements de soutiens) continuant à agir sur place, tant pour combattre l’invasion russe, que pour apporter un soutien humanitaire aux populations dans le besoin, ou aider les déserteurs des armées russes, biélorusses et ukrainiens ou encore aider les personnes victimes de la répression des États belligérants.
Dans le prolongement de cette dynamique, la CNT-SO a pris la décision de mettre sur pied un convoi syndical en vue d’appuyer les organisations souhaitant une Ukraine libre et égalitaire sur le plan économique et social, débarrassée des oligarchies et de l’État.
Il vous est possible de nous aider dans cette initiative en effectuant un don via ce lien : campagne de solidarité avec les anti-autoritaires d’Ukraine

Pour appuyer cette démarche, la CNT-SO appelle à soutenir la campagne :

L’ensemble des vivres et biens apportées seront transmis au réseau « Operation Solidarity » qui apporte une aide mutuelle et transparente aux personnes en fuite, soutient les mouvements des forces émancipatrices en défense contre la guerre impérialiste russe.

Communiqué du Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier (SCUM)

Plus d’une tonne de nourriture distribuée à 680 étudiantes et étudiants de Montpellier par le SCUM.

Ce lundi 04 avril, plus de 680 étudiantes et étudiants ont bénéficié de la distribution alimentaire du Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier (SCUM) à l’université Paul-Valéry. Une impressionnante file d’attente de plus de 100 mètres témoignait de l’accroissement de la précarité étudiante. Au total, plus d’une tonne de produits alimentaires a été distribuée, ainsi que des produits d’hygiène, des livres et des vêtements.

 

Le week-end précédent, les étudiantes et étudiants bénévoles du SCUM, avec le soutien de la Corpo Lettres Epsylone, ont collecté les produits auprès des clients de deux supermarchés montpelliérains.

Après avoir distribué plus de 6000 colis alimentaires entre janvier et juin 2021ouvert un foyer étudiant en cité universitaire, et obtenu le remboursement des frais d’inscription de plus d’une centaine d’étudiantes et d’étudiants, nous sommes fiers de multiplier les initiatives de solidarité concrètes.

Cependant, la situation étudiante s’aggrave dans des proportions de plus en plus effrayantes : plus d’un tiers de la population étudiante vit sous le seuil de pauvreté, et de plus en plus de personnes éprouvent des difficultés à se nourrir et se loger.

Au niveau national, il est urgent de rétablir le repas à 1€ pour toutes et tous en restauration du CROUS, d’élargir l’accès aux bourses, et d’augmenter leurs montants.

La situation est tellement critique et urgente que des mesures doivent aussi être rapidement prises au niveau local. Nous demandons au CROUS Montpellier-Occitanie d’accepter de prêter des locaux pour les associations comme le SCUM qui souhaitent effectuer des distributions alimentaires. Nous attendons aussi, depuis septembre 2021, que le maire et président de la métropole de Montpellier Michael Delafosse tienne son engagement et nous apporte l’aide promise afin que nous puissions effectuer des distributions alimentaires régulières.

Il faut que les choses changent. Nous ne pouvons pas nous contenter de survivre au jour le jour. Le SCUM continuera à mener des initiatives concrètes face à la précarité, et nous continuerons à organiser des mobilisations étudiantes afin de revendiquer notre droit à un avenir !

Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier – SCUM
www.combatuniversitaire.wordpress.com – syndicat.scum@live.fr

Connexions Directes

Le premier numéro de « Connexions directes », bulletin du syndicat national des activités postales et des télécommunications,  vient de sortir 👇 
Au sommaire du numéro :
  • La majorité des syndicats de la fédération CNT-PTT rejoint la CNT-SO.
  • Val d’Oise-centre de Groslay : réorganisation et souffrance psychologique
  • Plis électoraux : on se mobilise !
  • Vous avez dit prime ?
  • Secteur réseau
  • Prime d’intéressement : Philippe au tableau !
Bonne lecture  ! 
Exemplaire à télécharger au format pdf. Pour recevoir et diffuser Connexions directes en version papier, contactez le syndicat : poste-telecom[@]cnt-so.org.

Intérimaires de la Poste : prenez la parole ! Campagne nationale de la CNT-SO

Depuis plusieurs années la Poste a recours, pour assurer des activités au courrier, au travail intérimaire. Il s’agit de combler des absences de courte ou de longue durée, de pallier au manque chronique d’effectifs, ceci du fait de la suppression des volants de remplacement.

Pour le syndicat CNT-SO des Activités postales et  télécommunications, les intérimaires que nous côtoyons sont avant tout des êtres humains, des travailleur·euses à part entière, et pas seulement des pions que l’on croise par intermittence dans les travées. Nous entendons agir pour l’unité de tous·tes les exploité·es. Aussi en tant que syndicat nous vous proposons de répondre à ce questionnaire qui a comme objectif de mieux connaître votre ressenti, vos revendications, ceci afin d’agir ensemble. Il vous est possible de nous transmettre votre réponse en la remettant à un·e syndicaliste de la CNT-SO, en l’envoyant à notre adresse postale ou par courriel 👇

Salariés des entreprises privées de services à la personne, nous exigeons l’octroi de la prime Ségur, d’un montant minimal de 183 € !

Comme tous les salariés de nos métiers le savent, les pouvoirs publics ont largement trainé les pieds pour augmenter à minima les rémunérations, et ce malgré la crise sanitaire. Ne parlons pas de l’amélioration de nos conditions de travail qui ne fait l’objet d’aucune considération sachant que nos métiers sont les plus exposés aux accidents du travail et aux maladies professionnelles. Il ne faut pas s’étonner que nombreux sont ceux d’entre nous, qui épuisés par des cadences de travail toujours plus soutenues, les mensonges répétées de nos employeurs et des gouvernement successifs ont décidé de quitter à contre cœur un métier et des usagers qui ont besoin d’être accompagné.

Sous la pression des salariés, des usagers et de leurs familles différentes revalorisations ont pu voir le jour ces derniers mois. Après la revalorisation du secteur public de la santé via le Ségur de la santé, celle du secteur social associatif par le célèbre « avenant 43 », puis celle de la filière socio-éducative, via la récente conférence des métiers, une partie d’entre nous, les salariés des services d’aide et d’accompagnement à domicile (Saad) relevant du secteur privé lucratif, attendons toujours d’obtenir le même traitement. La question n’est pas anecdotique car nous sommes environ 110 000 salariés à évoluer dans environ 3000 structures. 

Avec une hypocrisie manifeste et répétée, Brigitte Bourguignon, la ministre déléguée chargée de l’autonomie, renvoie invariablement la résolution de cette question au dialogue social, entre les employeurs et les syndicats de salariés de notre branche d’activité (sachant que ce fameux dialogue social se traduit fréquemment à une lutte contre le syndicalisme ou aux salariés exprimant trop vigoureusement leur mécontentement). L’hypocrisie et le mensonge vient bien entendu de nos employeurs qui se disent dans l’impossibilité d’augmenter nos rémunérations, se réfugiant derrière l’argument de l’impossibilité qui est la leur d’accroitre le prix des prestations de services à la personne (Alors même que la direction d’une entreprise comme O2, filiale du groupe Oui Care se paie des séminaires entre directeurs à 50 000 €, comme la presse vient de mettre en lumière en cette fin mars)

Depuis de trop nombreuses années l’État et le patronat se moquent de nous, mais aussi des personnes dépendantes et handicapés dont nous nous occupons quotidiennement et de leurs familles.

Avec la CNT-SO, nous nous mobilisons pour une profonde refonte du financement et de l’organisation des services travaillant auprès des personnes les plus vulnérables.

Nous exigeons sans délais l’octroi de la prime Ségur
A travail égal, salaires et statuts égaux !

 

Notre souhait d’être traité à égal ne nous fait pas oublier que nos camarades du champ de la petite enfance sont, comme nous, parfaitement oubliés de la prime Ségur. En effet, comme les professionnels de la santé et du médico-social, les personnels des crèches, de la garde d’enfant à domicile, les assistantes maternelles… sont restés mobilisés tout au long de la crise sanitaire, pour accueillir les enfants des professionnels de santé en priorité puis toutes les familles, ceci avec des protocoles sans cesse changeants, parfois sans délai et sans protection maximale et sans masques FFP2. Cette prime n’es pas un luxe, elle constitue à peine un rattrapage de la juste rémunération de notre travail indispensable et d’utilité sociale.

Dans l’éducation à Marseille : on enchaîne !

Un mouvement coordonné de mobilisation pour un « plan d’urgence pour l’éducation », à l’initiative de collèges de l’Éducation prioritaire, est en court à Marseille depuis le 14 mars. L’idée est simple : un établissement se  mobilise chaque jour et transmet le flambeau le lendemain à un suivant avec l’objectif de construire une mobilisation commune la plus forte. Cela a donné lieu à des mobilisations massives dans les établissements participant à la chaîne puis à une première journée de mobilisation commune le 29 mars avec une grève inter-établissements. La lutte continue : prochain RDV à la rentrée pour une AG inter-établissements le 28 avril (17h bourse du Travail Nédélec).

On enchaîne ! Pour des moyens supplémentaires dans les établissements des Bouches-du-Rhône et un plan d’urgence pour l’éducation

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Déclaration de l’AG de grève du 29 mars pour la suite du mouvement :

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La grève inter-bahuts du 29 mars en images

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Appel intersyndical 29 Mars – Bouches-du-Rhône

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Appel des parents d’élèves de MPE 13

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Revue de presse

https://www.maritima.info/depeches/education/martigues/82208/greve-au-college-gerard-philipe-a-martigues-parents-et-personnels-mobilises-ce-mardi-5-avril.html

La mobilisation des profs de l’éducation prioritaire s’ancre dans la durée

https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/03/30/a-marseille-des-enseignants-demandent-un-plan-d-urgence-pour-les-colleges_6119758_3224.html

https://www.lamarseillaise.fr/social/faire-plus-avec-moins-dans-les-colleges-l-impossible-equation-EI10819195

https://www.maritima.info/depeches/education/departement/82092/marseille-les-enseignants-se-mobilisent-avec-une-greve-commune-inter-etablissements.html

https://www.francebleu.fr/infos/education/une-greve-en-chaine-dans-les-colleges-marseillais-1648557234

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/marseille-greve-en-chaine-dans-les-colleges-rep-pour-demander-un-plan-d-urgence-2514172.html

Des grèves prévues dans les collèges du département contre la baisse de la dotation horaire

https://www.francebleu.fr/infos/education/greve-dans-trois-colleges-de-marseille-cette-semaine-1647188852

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6692131/marseille-mouvement-de-greve-en-chaine-dans-les-colleges.html

https://www.lamarseillaise.fr/societe/au-college-renoir-un-sentiment-d-abandon-GO10697515

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6693490/video-marseille-la-greve-des-colleges-deducation-prioritaire-se-prolonge.html

https://www.lamarseillaise.fr/societe/monticelli-le-college-du-carre-d-or-ne-veut-pas-finir-sur-la-paille-LE10728146

https://www.maritima.info/depeches/education/marseille/81921/marseille-les-enseignants-du-college-monticelli-8e-en-greve.html

https://www.laprovence.com/article/societe/6700508/la-greve-en-chaine-dans-les-colleges-marseillais-prend-de-lampleur.html

https://www.laprovence.com/article/societe/6702576/marseille-fermeture-de-classes-le-college-gaston-defferre-aussi-concerne.html

https://www.maritima.info/depeches/education/marseille/82007/contre-les-suppressions-de-classe-les-enseignants-du-college-monticelli-8e-poursuivent-leur-greve.html

https://www.lamarseillaise.fr/social/la-greve-s-etend-dans-les-colleges-a-bout-de-nerfs-GJ10804112

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Les « grèves en chaîne » en image

Ukraine : informations et initiatives de solidarité !

Depuis le lancement de l’invasion russe en Ukraine le 24 février dernier, il est plus difficile de disposer d’informations locales issues du mouvement syndicaliste et anti-autoritaire et de diriger efficacement les soutiens en direction des militants anticapitalistes, libertaires, anti-guerre, déserteurs…

La CNT-SO a essayé de compiler  dans cet article différentes ressources utiles :  sites internet permettant d’obtenir une information présentant les initiatives et les démarches des ukrainien-nes ou russes anti-guerre et anticapitalistes et de leurs soutiens et surtout une liste de liens permettant de transmettre aides morales, techniques ou financières aux syndicalistes, militant-es ou groupes anti-autoritaires et anticapitalistes de la Région.

Relais régulier d’informations portant sur les initiatives de solidarité relatives à la guerre en Ukraine

Médias et relais militants ukrainiens

Organisations internationales

Médias libertaires et anti-autoritaires

Dispositifs de soutiens concrets (financiers, politiques, moral…).

Aide aux réfugiés :

Soutien aux militants anti-guerre russes :

Aide aux déserteurs d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie et d’ailleurs :

 Soutien aux organisations syndicales ukrainiennes :

 Dons pour l’autodéfense anarchiste :

Organisation humanitaire anti-autoritaire pour l’aide médicale d’urgence :

 

Ukraine : rassemblement tous les jeudi devant la mairie de Poitiers à 18h30

L’armée russe envahi depuis le 24 février dernier l’Ukraine par la Biélorussie, la Crimée et le Donbass. Cette invasion massive par la seconde armée au monde, générant essentiellement la mort de civils, bouleverse et va bouleverser durablement les sociétés occidentales et bien entendu la société Russe. Ce sont évidement les plus fragiles, les plus précaires qui seront les plus impactés par cette guerre.
La guerre ne profite qu’aux capitalistes : d’un côté les profits des complexes militaro-industriels s’envolent, de l’autre elle justifie les mesure d’austérité au nom de « l’économie de guerre », et renforce l’exploitation des travailleurs (en particulier les centaines de milliers de réfugiés plongés dans une situation précarité qui les expose à tous les abus). Plusieurs villes ont subi des tirs de missiles, à l’aveugle, comme tous les tapis de bombes largués sur des populations depuis la deuxième guerre mondiale.
 
Depuis 2014 et l’annexion de la Crimée, le Donbass était déjà entièrement sous le contrôle de Moscou. Ces 8 années de guerre avaient déjà causé la morts de 13 000 personnes, essentiellement des civils et des horreurs qui ont attisé les haines, sans oublier les millions de réfugié.e.s ou déplacé.e.s d’une zone à l’autre de leur propre pays.
 
Si nous considérons que des mesures contre les oligarques et responsables russes et d’ailleurs auraient du être prise depuis longtemps, tant la complaisance avec les amoureux de la verticalité et de l’autorité fait bon ménage avec un large spectre de l’échiquier politique et économique français, nous nous inquiétons fortement des conséquences de l’ensemble des mesures prises par les pays occidentaux qui affectera essentiellement la population russe, subissant déjà une désinformation institutionnalisée, une précarité généralisée et une désagrégation des droits humains et sociaux. C’est ce que dénoncent depuis des années les militants des Droits humains, et des syndicalistes de Russie, mais aussi ceux d’Ukraine et des pays limitrophes. 
    
Au regard de l’expérience de ces dernières années (Rwanda, Syrie, Afghanistan, Mali, Centrafrique…), on ne peut qu’être inquiet des agissements à venir des armées occidentales (françaises y compris) si celles-ci devaient être impliquées directement dans un conflit international. Ces interventions se sont traduites ces dernières années par des morts de civils, des exactions et viols (1). Nombreux sont les partisans en Ukraine et en Russie d’un accroissement des droits, des libertés fondamentales mais aussi de l’égalité économique et sociale. Qu’ils soient non-violents/pacifistes ou devant se battre pour protéger ce qui reste de leur vie, il est nécessaire de les aider prioritairement, car c’est en elles et eux que réside l’avenir de ces pays et de leurs habitants. 
    
Particulièrement inquiet de la situation qui ne cesse de s’aggraver, avec l’agitation de la menace nucléaire notamment, nous appelons à un nouveau rassemblement jeudi 10 mars 2022 devant la mairie de Poitiers à 18h30. Nous appelons d’ailleurs à un rassemblement chaque jeudi pour montrer notre opposition à toute forme de guerre, notre engagement pacifiste et anti-impérialiste, mais avant tout notre solidarité concrète avec la population et les travailleur·euse·s russes et ukrainien·ne·s, qu’ils soient sur place ou sur les routes de l’exil.
 
Nous adressons notre solidarité aux militant.e.s de la désescalade en Russie, en Biélorussie et ailleurs qui subissent de féroces et inacceptables intimidations, persécutions et privations arbitraires de liberté (emprisonnement, placement dans des centres de « rééducation par le travail », etc).
    
Ce rassemblement, dans le sillage des diverses initiatives  publiques ou privées d’assistance à la population et aux travailleurs ukrainiens menées dans la Vienne, se traduira également par différentes initiatives dans les prochains jours (conférence publique avec militants et syndicaliste ukrainiens, mise en place de caisses de soutien financiers…).

COMMUNIQUE DE L’UNION DES SYNDICATS CNT-SO DE LA VIENNE

 
 
 
    
 
 

Anims en grève : acte 3 !

Appel de l’intersyndicale de l’Animation pour une troisième mobilisation nationale du secteur les 08 et 09 mars 2022 👇