Le bien commun c’est nous ! Grève des intermittent-es sur le montage du show caritatif du milliardaire d’extrême droite P-E Sterin à Aix-en-Province

La salle du 6MIC à Aix-en-Provence devait accueillir la « nuit du bien commun », le 06 octobre, ce gala pseudo caritatif du milliardaire d’extrême-droite Pierre-Edouard Sterin. Le show a été finalement annulé, suite au mouvement de grève intersyndical des intermittent⸱es de l’équipe technique embauché⸱es à la journée pour le montage. Cela a été l’occasion de porter de nouveau les revendications des travailleurs et travailleuses des secteurs artistiques et culturels engagé⸱es contre les politiques austéritaires, ces derniers mois tout comme dans la mobilisation sociale globale enclenchée le 10 septembre. Contre la bourgeoisie radicalisée, nous répondons : auto-défense ouvrière, riposte syndicale et anti-fasciste ! Le bien commun, c’est nous !

Communique-6MIC – page 1 (pdf)

Communique-6MIC -page 2 (pdf)

Revue de presse

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Appel unitaire : Contre Sterin et son monde, bloquons « les nuits du bien commun » !

Appel unitaire de la CGT Spectacle, CGT Culture, STUCS CNT-SO, STAA CNT-SO et SUD Culture. 

Nous appelons tou·tes les camarades syndiqué·es et les militant·es et collectifs locaux à se coordonner localement afin de bloquer les prochaines « Nuits du bien commun » et l’ensemble des initiatives culturelles de Pierre-Edouard Stérin. Périclitons Périclès !

TENIR LE COUP, GARDER LE CAP ! Communiqué du STUCS CNT-SO

Comme nous pouvions nous y attendre l’intersyndicale a joué son rôle historique de canalisation des colères vers les manifestations folkloriques du 18 septembre.

N’ayant jamais fait son autocritique du mouvement des retraites par exemple, elle croit encore qu’une journée symbolique de mobilisation peut être un avertissement envers le pouvoir politique. Mais nous le disions précédemment toutes celles et ceux qui se sont mobilisés le 10 et le 18 ne veulent pas se faire dicter un calendrier de l’intersyndicale, lui-même piloté par la CFDT.

Nous devons une nouvelle fois trouver des moyens pour les contraindre et les déborder !

Comme ont tenté de le faire Cultures en Luttes à Paris à la Villette le 10.09 et comme l’ont fait les copain·es de la Bobine à Grenoble nous avons besoin d’occuper et ouvrir des lieux pour organiser la lutte actuelle. Nous, intermittent·es précaires artistes auteur·ices nous n’avons que rarement des lieux de travail fixes et nous avons besoin de lieux pour nous organiser et construire le rapport de force.

Convainquons nos collègues permanent·es de nous aider à occuper nos lieux de travail. Occupons les lieux culturels vides ou en travaux partout où nous le pouvons.

Bien qu’affectées directement par les baisses de financements publique, nos directions ne veulent pas soutenir le rapport de force par la grève ou le blocage en baissant le rideau. Pour certaines, elles sont déjà asphyxiées par leur manque de liquidité (et la suspension des versements du FONPEPS ne va rien arranger) et pour d’autres, elles veulent tenir leur respectabilité face aux financeurs et être encore là pour se battre dans la répartition des miettes des mois ou années futurs. Mais le mal a déjà gangréné une partie du secteur, de mois en mois la masse salariale des entreprises culturelles ne fait que décroître avec des secteurs particulièrement touchés comme le spectacle vivant subventionné et l’audiovisuel.
En tant que travailleur·euses nous n’avons pas à soutenir nos directions lorsqu’elle nous baratinent que nous sommes sur le même bateau. Tous les jours nous ressentons les coupes budgétaires dans notre travail sur le plateau et pour les intermittents·es dans l’agenda et les options de taf des mois futurs.

Grâce aux mouvements Cultures en Luttes débutés au printemps, nous avons la force d’être déjà lancés et organisés un peu partout sur le territoire avec les syndicats et collectif du secteur mais aussi avec les non-syndiqué·es et les étudiant·es. C’est par les AG et cette dynamique que nous devons imaginer et poursuivre ce mouvement et pas seulement contre l’austérité et pour des acquis supplémentaires, mais aussi et surtout contre l’extrême droite qui investit de toutes ses forces et ses moyens dans les médias et la culture.
L’empire Bolloré qui n’arrête pas sa conquête des médias et écrase déjà la chaîne du livre souhaite acquérir UGC d’ici 2028 pour contrôler la majorité du cinéma français. De plus sa main mise sur des salles de spectacle comme l’Olympia, les Folies Bergères à Paris ou l’Arkea Arena à Bordeaux, montre la volonté de l’extrême droite de posséder et gérer les vitrines culturelles. Stérin n’est pas en reste avec son plan Périclès, ses « Nuits du bien commun » et ses « Murmures de la cité ». Aux camarades en PACA et Pays de la Loire nous alertons et appelons à converger à Angers le 1er octobre et à Aix-en-Provence le 6 octobre pour faire front contre la tenue du gala de charité du milliardaire d’extrème-droite. La « Nuit du bien commun » aura lieu 6 octobre 2025 à 19h au 6MIC, la SMAC du Pays d’Aix qui accueil l’évènement, et le 1er octobre à 19h à Angers au Centre des congrès. La tâche est immense mais nous devons, dans les luttes actuelles, construire un front antifasciste de la culture par les travailleur·euses eux mêmes.

DÉBORDONS-LES !

BLOQUONS TOUT ! Appel a construire une grève générale à partir du 10 septembre

Appel du STUCS CNT-SO

En tant que syndicat révolutionnaire nous considérons la construction du rapport de force par la grève générale comme l’outil le plus efficace pour conduire à un changement émancipateur de la société. 

En ce sens, nous appelons tous les travailleurs·euses de la culture à rejoindre les appels du 10 septembre, à cesser le travail et à s’organiser sur leur site pour établir une grève sur le temps long et faire amplifier le mouvement contre Dati Bayrou et consorts.

Nous demandons à nos camarades des autres syndicats de nous rejoindre dans la construction de cette grève générale et de ne pas se faire happer dans l’organisation de manifestations traditionnelles qui captent l’ensemble des énergies et placent les syndicats à la fois dans un rôle inoffensif d’animateur de cortège et comme pacificateur de rue en tentant d’un côté de canaliser la colère des travailleurs·euses et d’un autre côté temporiser la violence d’état et sa police.

Nous connaissons trop bien l’échec des grèves perlées qui ont condamné la bataille des retraites en 2023 et montré le découragement des mobilisations au printemps du
mouvement Cultures en Lutte. Les salarié·es, qui plus est intermittent·es ont trop à y perdre. Nous n’appelons pas à délaisser la rue mais pour cela organisons-nous localement, de manière autonome, loin des partis politiques pour tisser les liens et faire du mois de septembre une rentrée sociale antifasciste, contre ce gouvernement et contre l’extrême-droite.

L’ensemble des syndicats et le monde de la culture doivent se mobiliser pour construire une grève générale historique et instaurer un rapport de force que ce soit face au gouvernement Bayrou, à la politique d’Emmanuel Macron et à l’ensemble du camp réactionnaire.
C’est pourquoi nous appelons à la construction d’une grève générale non pas le 10 septembre mais à partir du 10 septembre. Organisons nous en convainquant nos collègues, en montant des comités de grèves en organisant des AG à la pause café sur nos lieux de travail, en préparant des caisses de grèves et en mettant au service de la grève toutes nos forces et compétences.

Le 10 septembre, qu’il y ait un gouvernement en place ou démissionnaire, ça ne ne sera que le début, retrouvons nous le soir, le lendemain et les jours suivants pour entretenir, affiner et amplifier le mouvement jusqu’à l’obtention de l’ensemble des revendications.

Nous n’accepterons pas l’année blanche qui gèle les pensions de retraites et minima sociaux ! 

Nous sommes contre tout durcissement d’accès ou diminution d’indemnisation de l’assurance chômage, nous nous opposerons à toute nouvelle contre-réforme et nous demandons l’abrogation sans condition de la loi pour le plein emploi qui impose 15 heures d’activité par semaine aux bénéficiaires du RSA. 

Nous renouvelons nos oppositions à la loi de financement de la Sécurité Sociale qui attaque en premier lieu la santé des travailleurs·euses et renvoie vers les mutuelles le remboursement des soins qui, comme Audiens, le répercute ensuite injustement et majoritairement sur les salarié·es et non pas les employeurs. De plus, nous nous opposons à toute mise en place de jours de carence supplémentaires et augmentations de franchise. 

Au sein du STUCS nous exigeons toujours et entre autres : 

  • L’arrêt immédiat des coupes et la remise en place de tous les budgets culturels nationaux, régionaux et départementaux ainsi que la préservation du Fond National Pour l’Emploi et le Spectacle (FONPEPS). 
  • L’entrée des artistes auteur·ices dans la caisse commune de l’assurance chômage afin de leur garantir une continuité de revenus et l’étendu de leur protection sociale (congés payés, médecine du travail, reconnaissance des accidents du travail & maladies professionnelles.) 
  • Le dégel et la remise en place intégrale du Pass Culture pour les jeunes *
  • L’abrogation du contrat d’engagement républicain dans les demandes de subventions 
  • L’abandon de la réforme de l’audiovisuel public 
  • L’assouplissement du seuil d’accès au régime de l’intermittence, en particulier pour les primo entrant·es. 
  • La hausse générale des salaires à minima pour rattraper l’inflation. 
  • Des actions concrètes de luttes contre tout forme de discrimination : racisme, sexisme, LGBTQIA phobie, validisme, principalement à l’embauche, et une lutte concrète contre les VHSS dans le milieu de la culture et du spectacle. 
  • Des horaires aménagés pendant les canicules ! 
  • Des horaires aménagés pendant les canicules ! 
  • La régularisation de tous·tes les travailleur·euses sans- papiers

linkstack.fr/@stucs_cntso // spectacle@cnt-so.org

Le Management Culturel Prend un Coup de Chaud ! Vidéo du STUCS CNT-SO

Intervention du Syndicat des Travailleur.euses Unies de la Culture et du Spectacle STUCS de la CNT-SO lors de la présentation du livre « En finir avec les idées fausses sur LE MANAGEMENT DANS LA CULTURE lors du forum 2025 « Entreprendre dans la culture » organisé par le Ministère de la Culture.

Tu travailles dans la Culture et le Spectacle ?  Rejoins l’alternative syndicale avec le STUCS CNT-SO !

Communique STUCS et SIMPCS sur l’augmentation des cotisations Audiens Santé

Le STUCS CNT-SO et le SIPMCS-CNT affirment leur mécontentement face à l’augmentation des cotisations de la complémentaire santé des intermittent·es Audiens Santé Prévoyance au 1er juillet prochain et demandent aux partenaires sociaux impliqués une plus grande transparence sur la gestion et les négociations au sein d’Audiens.

Nous refusons de rester silencieux face à l’augmentation scandaleuse des cotisations à la complémentaire santé des intermittent·es dAudiens, augmentation qui monte jusqu’à 67 % selon les contrats.

Pour un·e intermittent·e seul·e souscrivant à l’option de base, elle passe de 11,80 à 19,63 par mois. Pour deux adultes et un enfant, elle passe de 97€ à 149alors que la participation des employeurs au fond collectif du spectacle pour la santé passe de 23,18 € à 25,51 , soit seulement 10 % d’augmentation ! Cette disparité est simplement scandaleuse.

Dans un contexte où les revenus sont de plus en plus instables pour les artistes et technicien·nes, et où face à une inflation cumulée de 15 % en 5 ans nous peinons à faire revaloriser nos salaires, cette hausse est une gifle. Cest une attaque de plus contre un secteur défragilisé par des années de réformes, de mépris institutionnel et de précarisation continue.

Pire encore, cette augmentation s’accompagne dun profond sentiment de mépris. Audiens est soit-disant « notre caisse » avec à sa tête des cadres syndicaux, mais elle agit aujourdhui comme une entreprise privée, sourde aux réalités du terrain.

Bien entendu, le rapport de force inégal entre les représentants des organisations patronales et les organisations syndicales représentatives biaise d’avance toutes négociations favorables aux ouvrier·es de l’industrie culturelle.

Cette augmentation, présentée comme inéluctable pour tenir un équilibre, tombe au moment même de la publication des résultats 2024 d’Audiens, avec une « croissance record » de 40 % de cotisations en plus sur 4 ans. Une année après que l’entreprise est revenue dans le vert, elle est déjà à l’équilibre dans sa branche santé.

L’entreprise réinvestit ses excédents, et à l’heure où de nombreux·ses artistes, auteur·ices, graphistes, monteur·ices et animateur·ices perdent du travail à cause de la montée de l’intelligence artificielle, Audiens fait le choix d’un investissement massif dans l’I.A. pour « optimiser ses expertises clients ».

De nombreux·ses intermittent·es aimeraient que les bénéfices permettent de tenir l’équilibre sans augmentation de leur complémentaire, ou préféreraient avoir une séance d’ostéopathie remboursée plutôt que de miser sur le développement d’une technologie au service d’idéologies fascistes ce n’est sûrement pas le cas de Frédéric Olivennes, directeur général d’Audiens depuis 2020, précédemment directeur général chez Weborama, « pionnière de l’Intelligence Artificielle sémantique », et président de l’Interactive Advertising Bureau France (organisation de lobbying pour la publicité sur Internet). Au vu de son parcours, on comprend mieux pourquoi, en 2022, Audiens santé à été condamnée à verser 800 000 par l’Autorité de la concurrence pour avoir utilisé les portefeuilles clients dans le but de commercialiser Movinmotion.

Au vu de cette gestion brutale, et face aux orientations capitalistes de « notre groupe de protection sociale », nous demandons à nos camarades des syndicats représentatifs présents chez Audiens de se ressaisir et d’agir pour le camp des travailleur·ses.

Dans son communiqué³, la CGT spectacle, partie prenante des négociations, ne souhaite même pas critiquer l’augmentation votée. Bien qu’elle cible les syndicats d’employeurs qui ont réussi, en étant majoritaires, à ne pas faire peser cette augmentation sur les cotisations patronales, elle renvoie la balle à la Sécurité sociale, qui rembourse de moins en moins et défend un équilibre déjà présent sans cette augmentation. Elle avoue avoir accepté cette augmentation par l’ouverture dès 2027 d’une couverture d’invalidité de niveau 2. Nous sommes bien entendu pour l’ouverture de ces prises en charges, mais refusons qu’elles soient mises dans une balance de négociation du montant des cotisations, sans effort conséquent des employeurs et sans remise en cause de la gestion globale du groupe Audiens.

Nous condamnons ouvertement la position des syndicats représentatifs dans cette négociation honteuse car ils font part d’une totale opacité sur le déroulé des négociations.

À défaut d’un véritable régime général de Sécurité sociale, à la fois plus efficient sur le plan économique et plus égalitaire sur le plan des droits, nous exigeons de la transparence sur la gestion et les orientations du groupe Audiens, de la communication claire en amont et pendant toutes négociations, et surtout, nous affirmons notre désaccord face à une telle augmentation sur le dos des intermittent·es.

Villeurbanne, le 16 juin 2025.

 
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Sources :

1. presse.tripalio.fr/croissance-record-et-redressement-reussi-pour-audiens-en-2024/#:~:text=Audiens%20a%20publié%20ses%20résultats,millions%20quatre%20ans%20plus%20tôt.

2. https://tribune-assurance.optionfinance.fr/lessentiel/audiens-renoue-avec-les-benefices-en-2024.html

3. https://synptac-cgt.com/2025/05/augmentation-importante-de-la-complementaire-sante-des-salarie%C2%B7es-intermittent%C2%B7es/

www.audiens.org/files/live/sites/siteAudiens/files/03_documents/groupe/RA-Audiens-2023.pdf

Dans le Spectacle et la Culture : le STUCS riposte !

En 2025, le STUCS rejoint les mouvements Cultures en luttes et La Culture riposte, il appelle tous·tes les technicien·nes et artistes à rejoindre les Assemblées Générales, actions, mobilisations et grèves sur tout le territoire.

A Marseille comme ailleurs : la Culture riposte !

A Marseille, la mobilisation dans le secteur de la Culture continue depuis début février avec un prochain rdv le 27 mars à l’Afriki Theatri (30 rue du baignoir 13001). Soyons nombreux et nombreuses pour poursuivre la lutte contre les coupes budgétaires, le désengagement financier des acteurs publics, la précarisation de nos métiers, la casse de nos droits et pour une convergence des luttes !

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Historique du mouvement
Une de La Marseillaise du 21 mars

Appel aux secteurs culturels : multiplions les actions à partir du 17 mars ! Tous·tes en grève le jeudi 20 !

Pris·es dans l’étau entre l’État qui prépare une économie de guerre et des collectivités territoriales qui tranchent dans les budgets avec une brutalité inédite, les travailleur·ses de l’art et de la culture organisent la riposte.

Depuis un mois, nous multiplions les AG et les rassemblements partout sur le territoire. Des actions ont été menées avec succès, en particulier à Paris, pour mettre la pression sur le ministère de la Culture. C’est le début d’une mobilisation qui va s’ancrer dans la durée.

Le STAA et le STUCS appellent tous·tes les travailleur·ses des secteurs culturels quels que soient leurs statuts (artistes auteur·ices, salarié·es intermittent·es ou permanent·es, micro-entrepreneur·ses, en activité ou non, indemnisé·es ou non) à construire une formidable semaine de lutte et d’actions du 17 au 23 mars 2025.

Nous appelons à une grève générale de nos secteurs le jeudi 20 mars :

  • Pour le refinancement des secteurs culturels par l’annulation des coupes budgétaires dans les collectivités, la reprise en main du ministère par les travailleur·ses et la mise en sécurité sociale de nos productions.
  • Pour l’entrée des artistes auteur·ices dans la caisse commune de l’assurance chômage afin de leur garantir une continuité de revenus.
  • Pour étendre la protection sociale des artistes auteur·ices : congés payés, médecine du travail et reconnaissance des accidents du travail & maladies professionnelles.
  • Pour le maintien du fonds pour l’emploi pérenne dans le spectacle (Fonpeps) en 2026.
  • Pour l’assouplissement du seuil d’accès au régime de l’intermittence, en particulier pour les primo-entrant·es.
  • Pour l’abrogation sans condition de la loi pour le plein emploi qui impose 15 heures d’activité par semaine aux bénéficiaires du RSA.
  • Pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences et harcèlements sexistes et sexuels (VHSS) dans l’édition et les arts plastiques.
  • Pour le retrait de l’abaissement du seuil de TVA à 25 000, précarisant l’ensemble des travailleur·euses indépendant·es

Ne laissons pas quelques notables réactionnaires, racistes et violent·es, par ailleurs toujours prompt·es à se coucher devant les pires des capitalistes, nous embarquer dans la pente de l’austérité, de la guerre et du fascisme. C’est nous qui travaillons, c’est nous qui décidons !

Ensemble, amplifions le rapport de force jusqu’à la victoire.

Syndicat des travailleur·ses artistes auteur·ices

STAA CNT-SO

Syndicat des travailleur·ses uni·es de la culture et du spectacle

STUCS CNT-SO

Communiqué du STUCS CNT-SO sur la mobilisation de la Culture

Depuis plusieurs semaines, le secteur de la Culture bouillonne et de nombreuses initiatives locales ont été menées (RP, Marseille, Montpellier, Bretagne, Lyon…) pour lutter contre les coupes budgétaires, le désengagement financier des acteurs publics, la précarisation de nos métiers, la casse de nos droits et pour une convergence des luttes ! Le combat continue !

Retrouvez le communiqué du STUCS CNT-SO