Coronavirus nos droits : tutos d’auto-défense syndicale

L’épidémie de COVID-19 est toujours virulente. L’insuffisance chronique des moyens de contrôle peut encourager certaines entreprises à ne pas respecter les protocoles sanitaires et leurs obligations de sécurité des salariés-es. Il faut être vigilants-es, individuellement et collectivement pour la santé des travailleurs-euses qui ne doit pas être mise en balance avec les impératifs économiques.

COVID-19 : Autotests gratuits pour les intervenant-e-s à domicile

Mise à disposition gratuite d’autotests de dépistage pour les salarié-e-s des structures d’aide à domicile, les salarié-e-s du particulier-employeur et les accueillants familiaux. Un arrêté en date du 10 avril 2021 précise les modalités de distribution des tests antigéniques aux intervenant-e-s à domicile 👇

Congés payés, RTT, repos… Qu’est-est-ce qui change avec « l’Etat d’urgence sanitaire » ?

Sous prétexte « d’urgence sanitaire », le gouvernement a diminué par plusieurs ordonnances en 2020, les droits des travailleurs.euses en matière de repos, RTT et congés ! Alors que nous subissons une troisième période de « confinement », on fait le point sur ce que l’employeur peut éventuellement imposer et dans quel cadre 👇

COVID-19 : les mesures de protection en entreprise et les obligations des employeurs

Face à l’épidémie de COVID-19, les employeurs sont tenus de respecter leurs obligations de santé et de sécurité des salarié·e·s. Le protocole sanitaire en entreprise met à la responsabilité des employeurs un certains nombres d’impératifs d’organisation, d’hygiène ou sanitaires. On fait le point dans ce tuto d’auto-défense syndicale.

COVID-19 AU TRAVAIL : EXERCER SON DROIT DE RETRAIT (privé & public)

L’épidémie de COVID-19 est toujours virulente. Il faut être vigilant.e.s, individuellement et collectivement pour la santé des travailleurs.euses qui ne doit pas être mise en balance avec les impératifs économiques. Face à un employeur qui ne remplirait pas ses obligations de sécurité, le « droit de retrait » peut être une solution.

COVID-19 : le cas des personnes vulnérables et de leurs proches

Le gouvernement avait considérablement réduit, fin août 2020, la protection des personnes vulnérables et de leur entourage, dispositions en partie censurées par le Conseil d’État (Voir ici). Depuis le 10 novembre 2020, ce sont deux nouveaux textes réglementaires qui fixent principalement les règles. On fait le point 👇

CSE : le droit d’alerte

Les représentant.e.s du personnel au CSE (Comité Sociale et Économique) disposent d’un droit d’alerte en cas de danger grave et imminent pour les salarié.e.s de l’entreprise, ou en cas de situation dangereuse pour la santé publique et l’environnement. Face à la recrudescence de l’épidémie de COVID-19, nous encourageons les équipes syndicales et élu.e.s CSE, à faire usage de ce droit dans les entreprises qui ne respecteraient pas les protocoles sanitaires et manqueraient à leur obligation de sécurité des salarié.e.s.

Les équipements de protection des salarié.e.s (EPI) – port du masque

Depuis le 01er septembre, le port du masque est obligatoire, dans les entreprises et les services en protection contre la COVID-19. On fait le point dans ce tuto d’auto-défense syndicale 👇

CONGÉ POUR GARDE D’ENFANT – DISPOSITIF POUR LE COVID 2019

La fermeture généralisée des crèches, écoles et établissements scolaires pose la question de la garde des enfants pour les parents et du télé-travail. On fait le point dans ce Tuto d’auto-défense syndicale 👇

Nettoyage : que faire en cas de mutation ? L’employeur peut-il imposer la modification du lieu de travail ?

La majorité des contrats de travail du secteur imposent des clauses de mobilité parfois à l’échelle de départements entiers ! Les patrons en usent de façon arbitraire au mépris de nos vies privées, souvent pour casser des équipes solidaires ou des salariés trop revendicatifs. A lire dans ce dossier, les possibilités de refus de ces mutations imposées.