Marseille – Salarié.e de la « zone touristique » (Terrasses du Port, Docks…), pour défendre tes droits et en gagner de nouveaux, viens voir le syndicat !

COMMERCE, ÉQUIPEMENT DE LA PERSONNE, SERVICES A LA PERSONNE, RESTAURATION, GRANDS MAGASINS, ENTRETIEN ET NETTOYAGE…

Salarié.e de la « zone touristique » (Terrasses du Port, Docks…), pour défendre tes droits et en gagner de nouveaux, viens voir le syndicat !

Avec des enseignes ouvertes 7/7, ce sont des rythmes de travail usants et irréguliers alors que les pratiques des employeurs dans nos secteurs sont déjà bien souvent intolérables : non-respect des conventions collectives et du code du travail existants, non-respect des normes d’hygiène et de sécurité, généralisation des CDD et des temps partiels, heures supplémentaires ou complémentaires impayées, licenciements abusifs…

MARSEILLE, CAPITALE DE L’EXPLOITATION ?

L’accord local de 2011 sur la dérogation au repos du dimanche dans la zone (dans le cadre de la loi Maillé de 2009) est une belle arnaque qui n’a profité qu’aux patrons ! Les contreparties sont maigres et ne compensent pas le préjudice de la perte du dimanche chômé : la majoration de salaire prévue est seulement équivalente à 15 ou 30 %. Pire, cet accord bidon n’est même pas appliqué dans toutes les enseignes, faute d’arrêté d’extension pris par l’État.
Il est nécessaire de s’organiser et de se mobiliser contre ce type d’accord scélérat pour que notre vie personnelle ne passe plus après les intérêts et profits de nos employeurs !

ROMPRE L’ISOLEMENT ET LUTTER POUR SES DROITS
Aujourd’hui, dans nos entreprises : la compétition et l’individualisme remplacent trop souvent la solidarité entre salarié.e.s, c’est le règne des petits chefs et du « Tais-toi, fais ce que je te dis ou t’es viré.e ! »
Mais ce n’est pas une fatalité ! Se syndiquer, c’est rompre l’isolement, c’est dire NON à l’exploitation et au mépris, c’est résister et lutter ensemble pour défendre ses droits et en gagner de nouveaux ! C’est ce que font au quotidien les hommes et les femmes qui ont choisi de s’organiser à la CNT-Solidarité Ouvrière.

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La CNT-Solidarité Ouvrière vous accueille :

Besoin d’échanger sur tes conditions de travail ? Envie de t’organiser et de te mobiliser collectivement ?
Permanences syndicales : le lundi de 16h00 à 18h00 et le mercredi de 14h00 à 17h00.

Tu as besoin de mieux connaître tes droits ? Relire ton contrat ou ta fiche de paye ?Tu as des problèmes, un litige avec ton employeur ? Tu souhaites être accompagné au Prud’hommes ?
Permanence juridique. Notre juriste reçoit sur RDV du lundi au vendredi. Pour prendre RDV il suffit de téléphoner au : 04.91.35.06.56.

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Rejoindre la CNT Solidarité Ouvrière c’est développer une alternative syndicale !

Refus du corporatisme La CNT-Solidarité Ouvrière refuse les divisions corporatistes et développe un syndicalisme d’industrie. Les travailleurs et les travailleuses d’une même « industrie », quels que soient leurs métiers, leurs statuts ou employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.

Indépendance et autogestion La CNT Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement grâce aux cotisations de ses adhérent-e-s, sans subventions de l’État ou du patronat. Elle est indépendante de tout groupement politique ou religieux. C’est la base du syndicat (ses adhérent-e-s), qui décide en échangeant dans les Assemblées Générales.

Refus du clientélisme et de la corruption patronale À la CNT Solidarité Ouvrière, c’est toujours l’intérêt collectif des travailleurs-euses qui prime et le syndicalisme se pratique avec droiture. Nous refusons les petits arrangements « entre amis » et la complicité douteuse avec les employeurs.

Un outil au service des travailleurs-euses Le syndicat apporte des conseils juridiques et d’autres aides concernant les conditions de travail. C’est aussi un espace important de formation pour s’émanciper.

Un outil de coordination au service des luttes Nous défendons un syndicalisme de lutte de classes. Tout est question de rapports de force, c’est par les luttes syndicales, sous toutes leurs formes, que nous faisons avancer nos intérêts contre ceux des patrons.
Un syndicalisme révolutionnaire Défendre nos conditions de travail, gagner de nouveaux droits, c’est le rôle du syndicalisme. Mais nous revendiquons aussi un autre projet de société, à l’opposé des inégalités actuelles et loin de tout rapport de domination. Nous militons pour un projet de transformation sociale révolutionnaire.