Le gouvernement communique beaucoup sur l’avancée sociale que constituerait l’accord sur la tarification pour les livreurs des plateformes. Cinq organisations syndicales du secteur répondent dans un communiqué unitaire pour rétablir la vérité sur cet accord bidon, dans le cadre de l’ARPE.
La CNT-SO a ouvert une caisse en ligne dans le cadre du mouvement retraite pour accompagner les travailleur-euses et équipes syndicales en lutte.
Depuis le 19 janvier, nous nous mobilisons massivement dans les rues et les journées de grève s’accumulent. Pour contraindre le gouvernement à reculer, seul le rapport de force dans la durée, va compter ! Cela passe par la poursuite des actions quotidiennes engagées depuis le 7 mars et qui se sont renforcées après le 49.3 : grèves sous toutes les formes, actions de solidarité interprofessionnelle, occupations, blocages économiques, manifestations…
La CNT-SO regroupe majoritairement des travailleurs et travailleuses des secteurs les plus exploités et précarisés de la classe ouvrière : nettoyage et sous-traitance hôtelière, restauration, bâtiment, aide à domicile, Intérim… Ces métiers à la pénibilité mal reconnue et au bas salaires, seront les plus durement touchés par l’augmentation de la durée du travail.
On l’a vu avec le COVID, ces métiers sont essentiels au fonctionnement de l’économie et de la société, une extension du mouvement dans ces secteurs est indispensable pour gagner ! La solidarité financière est une des clefs de la réussite de la mobilisation.
Notre lutte commune est aussi confrontée à la répression grandissante d’un pouvoir dépassé. La répression s’exprime par la violence policière mais aussi par la justice de classe avec des poursuites et condamnations impliquant souvent un coup financier élevé auquel nous devons faire face collectivement.
Pour soutenir, la caisse de grève interpro de la CNT-SO : cliquez ici.
Le gouvernement présente un nouveau projet de loi sur l’immigration. Un collectif d’associations et de syndicats s’y oppose dans cet appel, car cette réforme priverait encore plus de droits les personnes étrangères en France. La CNT-SO est signataire de l’appel unitaire contre le nouveau projet de loi sur l’immigration porté par Darmanin.
Appel contre l’immigration jetable et pour une politique migratoire d’accueil
Le nouveau projet de loi asile et immigration du gouvernement conduit à une négation radicale des droits fondamentaux des personnes migrantes. Il a pour objectif de graver dans le marbre et de radicaliser les pratiques préfectorales arbitraires et répressives : systématisation des obligations de quitter le territoire français (OQTF) et des interdictions de retour sur le territoire français (IRTF), dans la suite des instructions déjà prises pour augmenter les assignations à résidence et le nombre de centre et locaux de rétention administrative.
Le projet s’inscrit délibérément dans une vision utilitariste et répressive dont témoigne l’obsession des expulsions et l’inscription des sans-papiers au fichier des personnes recherchées. Les personnes migrantes sont déshumanisées et considérées uniquement comme de la main d’œuvre potentielle, qui n’a droit qu’à des propositions de régularisations précaires, limitées aux métiers dits “en tension”.
Alors que la dématérialisation prive de l’accès au séjour de nombreux personnes étrangères, le droit du séjour et le droit d’asile vont être encore plus restreints. Le projet prévoit des moyens pour empêcher d’accéder ou de rester sur le territoire, au lieu de les utiliser pour accueillir dignement celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions, la misère ou les conséquences du dérèglement climatique…
Les droits sont de plus en plus bafoués
Les droits protégés par les conventions internationales sont de plus en plus bafoués (asile, droit de vivre en famille, accueil des femmes et des personnes LGBTIA+ victimes de violences…) y compris ceux des enfants (enfermement, non-respect de la présomption de minorité, séparation des parents…). Les droits des personnes étrangères sont de plus en plus précarisés.
Nous appelons à nous mobiliser contre cette réforme qui, si elle était adoptée, accentuerait encore le fait que les personnes étrangères en France sont considérées comme une population de seconde zone, privée de droits, précarisée et livrée à l’arbitraire du patronat, de l’administration et du pouvoir.
Il est de la responsabilité de nos organisations, associations, collectifs et syndicats de réagir. Nous appelons à la mobilisation la plus large possible sur tout le territoire dans les prochaines semaines.
Les agent‧es de services de la société ARC-EN-CIEL, sous-traité‧es à la Métropole de LYON pour le nettoyage de la gare routière de Perrache, ont cessé le travail entre le 10 octobre et le 16 décembre, avec le soutien de leur intersyndicale CNT-SO, CGT, FO, CFDT. Après des années d’exercice sur le site, parfois plus de 20 ans, la Métropole de Lyon, donneur d’ordre du chantier a fait le choix délibéré de sacrifier leurs emplois avec un nouvel appel d’offre restreignant le marché aux seules entreprises d’insertion !
La Métropole de Lyon qui prétend mener une politique sociale et en faveur de l’emploi aura assumé jusqu’au bout le choix politique absurde de remplacer 21 CDI par des contrats aidés. Encore plus ignoble, elle a brisé le mouvement en ayant recours à une société extérieur pour remplacer les grévistes ! C’est pourquoi, même après la fin de la grève, le combat collectif et syndical va continuer : pour obtenir du groupe de sous-traitance Arc-en-Ciel, le maximum de garanties dans le cadre du PSE (plan de sauvegarde de l’emploi) et exiger de la Métropole de Lyon des mesures de reclassements pour les salarié-es qui vont être licencié-es.
Bruno Bernard et les écolos du Grand Lyon, politiques et patrons voyous, la classe ouvrière vous retrouvera partout !
Prétendant mener une politique sociale et pour l'emploi @grandlyon a assumé jusqu'au bout le choix politique absurde de remplacer 22 CDI par des contrats aidés. On oubliera pas 👉@brunobernard_fr & @ecolosgrandlyon politiques voyous : la classe ouvrière vous retrouvera partout ! pic.twitter.com/04gv2VgHCw
Après des années de service, au profit de grands groupes de la propreté et de @grandlyon qui les ont exploités et maltraités, on annonce par voie de presse aux agent-es de #nettoyage de la gare de #lyon Perrache des « licenciements au minimum légal » 😡 https://t.co/6nAO25nJWg
Les mobilisations des équipes syndicales @cntso_fr mettent la lumière sur les invisibles 👉 @lemondefr revient aujourd'hui sur les patrons voyous d'#ArcEnCiel et la maltraitance systémique de la #SousTraitance cautionnée par les donneurs d'ordre publics 👇 https://t.co/sxfq0eM2go
🗞 Il y a quelques jours, @leprogreslyon revenait sur les violences subies par les salarié•es du nettoyage de la Gare routière de Perrache, de la part des services de la Métropole de Lyon, qui les avait contraint, déjà en juin 2021, à se mettre en grève 👇 pic.twitter.com/EbxdcBRbG0
8 semaines de grève, aucune garantie pour leur avenir professionnel, intervention de remplaçants à l'initiative de la Métropole de Lyon pour casser le mouvement…
Ce matin à 8h, les grévistes de Perrache ont vu arrivé sous escorte policière l'entreprise Tf Net express qui ont commencé a nettoyé la gare … Apres 2 mois de grève sans jamais parler aux salariés c'est donc ça le sens du dialogue social chez les verts ??? @brunobernard_frpic.twitter.com/BnDKtWBKcz
Le @grandlyon a dépêché une société extérieure pour nettoyer la gare de Perrache. Ce matin, les agents de la société Arc-en-ciel en grève depuis le 10 octobre ont vu la gare être entièrement nettoyée. Pour les grévistes, la discussion est "violente et inexistante"#Perrachepic.twitter.com/nnrVzwPSNU
Provoquer le licenciement de 22 agent-es en CDI pour les remplacer par des contrats d'insertion au nom de la lutte contre le chômage, tout le monde trouve ça absurde ! Et vous @brunobernard_fr – @EELV 🤔 Vous persistez avec @grandlyon ?
Alors que @grandlyon et @brunobernard_fr communique en disant soutenir les grévistes tout en appelant la préfecture pour « remettre de l’ordre » la lutte continue ! rassemblement ce soir à 18h place Carnot en soutien au gréviste ! pic.twitter.com/vhI3JsXzJK
Communiqué de presse intersyndical suite à l'attaque fascistes contre le piquet de grève de la gare routière de Perrache. Fascistes à jamais les ennemis des travailleur-euses 😡 Soutien aux camarades en #greve 🤝 pic.twitter.com/r6Kx5tOepc
Malgré les intimidations de l'extrême droite, le mépris de leur employeur comme du donneur d'ordre @grandlyon les camarades du #nettoyage en lutte tiennent le piquet à la gare routière de #Lyon Perrache ✊
🔴Grève des agents du nettoyage à Perrache #2 En grève pour leurs emplois, les https://t.co/AJFuMLVGXc ne reprendront le travail qu’après avoir obtenu des garanties sur la continuité de leurs contrats de travail et de leur maintien sur le site. Recap de la journée d’hier 👇 pic.twitter.com/30xB2u5TmO
‼️EN GRÈVE ‼️ Les salarié•es du nettoyage à la gare routière de Perrache – embauché•es par des sociétés sous-traitantes, au service de la Métropole de Lyon depuis des années – entament aujourd'hui un mouvement de grève pic.twitter.com/jx0huGFzbR
#SousTraitance du #nettoyage à la gare routière de #Lyon Perrache : les agent-es partent en grève illimitée contre le nouvel appel d'offre du chantier par @grandlyon qui menace leurs emplois 😡🤝✊@brunobernard_fr toujours pas de réaction ?
✊ Des agents d'entretien de la gare de #Lyon Perrache commencent un mouvement de #greve illimité ce lundi 👉Les agents accusent la Métropole "d'organiser leur licenciement" ⬇️ #Rhone#Socialhttps://t.co/sJoQE7IyWG
Sous les applaudissements du patronat le gouvernement a validé une nouvelle attaque sur les droits des salarié-es, en durcissant les conditions d’indemnisation de l’assurance chômage.
Après avoir rallongé les durées de cotisation, restreint les périodes d’affiliation et réduit le montants des indemnités (voir nos analyses sur la précédente réforme), le gouvernement modifie structurellement le fonctionnement de l’assurance chômage en introduisant une variable : en fonction de la situation économique nationale, la durée d’indemnisation sera différente !
Avec unesituation économique jugée « bonne » selon les critères capitalistes (taux de chômage inférieur à 09%), la règle sera durcie ; avec une situation, jugée mauvaise selon les même critères (taux de chômage au-dessus de 9 % ou en progression de 0,8 point sur un trimestre) la règle sera assouplie … Si le montant n’est pour l’instant pas touché, c‘est à la durée de l’indemnisation que le gouvernement s’attaque.
Concrètement avec un taux de chômage officiel actuellement autour de 7 %, pour les travailleur-euses qui dépendront de l’assurance chômage après le 1er février 2023, la durée d’indemnisation sera réduite de 25% pour une indemnisation supérieure à 6 mois :
Passage de 24 à 18 mois d’indemnisation maximum
Passage de 30 à 22,5 mois d’indemnisation maximum pour les 53/54 ans
Passage de 36 à 27 mois d’indemnisation maximum au-delà de 55 ans
Cette réforme va être particulièrement douloureuse pour les travailleur-euses les plus âgée-es déjà en difficulté face à l’emploi !
Elle est également encore plus injuste suivant les territoires : pour durcir les règles, seul le taux national de chômage est pris en compte malgré des fortes variations locales (Taux de chômage en Loire-Atlantique à 5,8 % contre 11,6 % dans les Pyrénées-Orientales par exemple).
A cela s’ajoute d’autres régressions sur notre protection :
Privation d’indemnisation pour les intérimaires et CDD en cas de refus de deux propositions de CDI similaires en un an.
Présomption de démission en cas d’abandon de poste.
Encore une fois, le gouvernement rend les chômeur-euses responsables de leur situation et les sanctionne en réduisant des droits, acquis par leur travail et leurs cotisations !
Les objectifs sont clairs : faire plus de 4 Milliards d’économies par an (chiffrage UNEDIC) sur le dos des chômeur-ses et nous contraindre à accepter des emplois à n’importe quelles conditions.
C’est d’autant plus inadmissible que la patronat est très loin de payer sa part, en bénéficiant depuis d’années d’exonérations de cotisations sociales qui plombent les caisses de protection sociale et constitue le vol d’une partie de nos salaires. Rappelons que les cotisations sociales (le salaire brut) ne sont pas des « charges » mais une partie intégrante de nos salaires, socialisés pour nous protéger des aléas de la vie (santé, vieillesse, chômage…).
Tous et toutes concerné-es !
Cette attaque contre l’assurance chômage est une attaque contre tous les travailleur-euses, car elle attaque un droit social collectif, qui constitue une protection économique contre la perte d’emploi. Tout comme l’assurance retraite, constitue une protection quand il est grand temps d’arrêter de travailler. Tout comme le RSA et les allocations permettent à certain-es de joindre les 2 bouts ou simplement vivre.
C’est pourquoi, exploité.e.s de toutes conditions, battons nous, organisons-nous et exigeons le retrait de cette réforme et des précédentes. Non a la destruction de l’assurance chômage, non à France Travail !
La CNT-SO revendique :
Annulation des dernières réformes sur l’assurance chômage.
Extension des droits et accès universel à l’allocation chômage avec un minimum égal au SMIC
Arrêt des exonérations de cotisations sociales au bénéfice des entreprises
Contre les déconnexions arbitraires, pour la régularisation des livreurs sans-papiers et pour l’amélioration des conditions de travail et de rémunération… Les livreurs UBER EATS, comme des autres plateformes, sont en colère et s’organisent avec le soutien intersyndical du CLAP, de SUD Commerce et de la CNT-SO.
Nous étions près d’un millier à la manifestation organisée le lundi 12 septembre tout comme à la manifestation véhiculée 2 roues du 01er octobre. Nous nous sommes aussi fait entendre à la première réunion de l’Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi (ARPE) le mercredi 26 octobre. Nous étions de nouveau massivement mobilisés le dimanche 30 octobre avec la manifestation véhiculée « Le Tour de Paris #2 » puis le samedi 19 novembre pour manifester en direction du ministère de l’Intérieur.
Faute de réponses satisfaisantes des plateformes comme de l’État (voir ici, le courrier de l’intersyndicale au gouvernement, pour la régularisation des sans-papiers), le mouvement va continuer sur la durée et nous visons directement les enseignes qui profitent de l’UBERérisation. Plusieurs mouvements de grève ont touché les restaurants Mac Donalds en décembre… Nous travaillons au développement du mouvement dans d’autres villes comme à Lyon (voir ici). Ce n’est que le début !
Historique de la mobilisation 👇
Mobilisation massive des travailleur-euses #sanspapiers à #Paris pour la @MSolidarites 🤝 Pour la régularisation pour tous.tes et contre les politiques racistes et anti-immigré-es : on s'organise, on se mobilise ✊ pic.twitter.com/e1UqSSEjQ0
Le mouvement des #LivreursEnColere continue sur #Paris et vise maintenant les enseignes de restauration qui profitent de l'UBERisation 👇 Le gouvernement doit entendre les revendications des livreurs et leur intersyndicale ✊🏿✊🏽✊🏼✊🏿✊🏻 https://t.co/kgxJHa8dFJ
Sur le terrain, la mobilisation continue et nous construisons le rapport de force pour gagner en particulier sur la régularisation pour les livreurs #sanspapiers 👇 Cela passera par l'extension du mouvement dans toute la France, rejoignez-nous 😉 ✊https://t.co/Yp55uzOHVP
Contre les déconnexions arbitraires, pour la régularisation des livreurs #sanspapiers et pour l’amélioration des conditions de travail et de rémunération… Le combat des livreurs ubérisés continue dimanche 30/10 avec une manif véhiculée à #Paris 👇
Action au siège de l’ARPE à Paris, le 26 octobre 2022
Une délégations des #UberEatsEnColere S'INVITE à la 1ère réunion de l'Autorité de Relations sociales des Plateformes d'Emplois (Uber, Deliveroo) pour orienter le débat sur la purge de 2500 livreurs sans-papiers cet été par Uber Eats. "RÉGULARISATION, PAS DÉSACTIVATION ! " pic.twitter.com/EYikH2yueq
#Livreurs Fury road à #Paris 😆 Les plateformes et le gouvernement doivent maintenant entendre la colère des livreurs UBERisés et avancer sur les conditions de travail et rémunérations, le statut et la régularisation pour les collègues #sanspapiers 🤝✊ https://t.co/7zZBt8QgqD
Plus de 500 livreurs #UberEatsEnColere manifestent à Paris contre les désactivation de comptes abusives et pour leur régularisation et leurs droits pic.twitter.com/cVuVItj0q8
"Uber voleur", "Justice pour les livreurs !" Environ un milliers de livreurs Uber manifestent contre des fermetures arbitraires de compte par Uber. Ils dénoncent aussi leurs conditions de travail très difficiles et la récente baisse de leurs rémunération ⤵️ pic.twitter.com/eG3TP5YC8V
Attention, la grille des salaires applicable dans les entreprises relevant de la convention collective nationale des entreprises de propreté et services associés (IDCC 3043) a été réévaluée après le 03 mars et le bas de la grille a été rattrapé depuis par les réévaluations du SMIC en mai et août ! La grille est la suivante depuis le 01er août 2022.
Le mouvement de grève, mardi 16 août, des femmes de chambre et gouvernantes des hôtels Adagio Saint Charles et Vieux Port, s’est conclu dès la première journée par un accord gagnant avec la société sous-traitante PRIMIUM !
L’avenant n°S44 relatif à la revalorisation des salaires signé le 28 octobre 2021 a été étendu par arrêté du 24 janvier 2022 et publié au Journal Officiel le 28 janvier 2022.
Cet avenant détermine la grille des salaires minima conventionnels revalorisés, mais fixe également le montant minimum des prestations en nature (coût d’un repas et coût d’un logement) pouvant être déduites du salaire net.
Pour les prestations en nature, l’avenant précise :Le montant minimum de chaque prestation en nature telle que définie aux termes de l’article 20 a de la convention collective nationale des salariés du particulier employeur est évalué comme suit : – coût d’un repas : 4,70 € ; – coût du logement : 71 €.
Si l’importance du logement le justifie, une évaluation supérieure pourra être prévue au contrat.
Il est rappelé que les prestations en nature sont déduites du salaire net.
Le texte doit désormais s’appliquer à tous les particuliers-employeurs relevant de la convention collective nationale de la branche du secteur des salariés du particulier employeur et de l’emploi à domicile du 15 mars 2021.
Cet avenant est applicable aux salaires dus à partir du 1er février 2022 !
En cas de difficultés avec votre particulier-employeur, vous pouvez contacter la CNT-SO.
Cette grille représente le minimum légal mais reste basse pour nos métiers essentiels : par l’organisation et l’action collective il reste nécessaire de revendiquer des hausses de salaires plus conséquentes ! rejoins ton syndicat !
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Source :
Avenant S44 du 28 octobre 2021 de la convention collective nationale de la branche du secteur des salariés du particulier employeur et de l’emploi à domicile du 15 mars 2021. (voir ici)